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ssaires ? L’amour du peuple et des victimes d’une
société
affolée s’étale sur les affiches électorales : j’y vois la preuve que
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st par eux qu’il peut être humanisé. Le but de la
société
, c’est la personne. On n’y atteindra jamais que par une politique éta
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qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la
société
humaine repose sur le principe démissionnaire par excellence du déter
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e. Nous avons oublié ce fait très simple : que la
société
doit être composée d’hommes réels. Nous avons tout calculé, sauf ce q
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c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les
sociétés
que vous voudrez, bouleversez les institutions, organisez le monde pa
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trainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une
société
si vous n’avez pas, avant tout, retrouvé le rapport primitif, le rapp
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ard du voisin, une façon plus commode de vivre en
société
. On a transporté dans l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
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de notre destin personnel et fonde aussi la seule
société
possible. Ne nous y trompons pas : l’acte de la miséricorde, c’est l’
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rsonnel considéré par opposition à l’état ou à la
société
; 4° homme que l’on ne connaît pas, ou qu’on ne veut pas nommer. » La
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t ainsi à cette bourgeoisie la vraie nature de la
société
moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes et déjà démocra
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jour. (Autosuppression de l’État, au moment où la
société
sera devenue homogène, c’est-à-dire sans classes.) Tout cela n’est qu
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en tant qu’il a une vocation particulière dans la
société
. Considérer l’homme en tant que personne et fonder sur cette personn
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en principe, destiné à créer du loisir, dans une
société
dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cett
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nante est la religion du travail mécanique. Cette
société
n’accorde pas au loisir, but secret69 de la plupart de ses membres, l
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ômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la
société
capitaliste-bourgeoise. On pouvait prévoir ses effets dès l’origine.