1 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
1 la passion politique… Et pourtant il s’agit d’une société politique de notre temps, dans un canton fort évolué : sur les 35 000
2 es paroles, les écrits, les fêtes nationales, les sociétés littéraires et savantes, les vœux, les projets d’un grand nombre de c
3 ois moins de célébrité, à l’existence des petites sociétés politiques qu’à celle des plus grands États. Leur histoire a souvent
2 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
4 u siège d’une direction générale qui contrôle 125 sociétés affiliées, dans toutes les parties du monde. L’horlogerie doit une im
5 6 % Assurances 7 % Impôts 4,5 % Dépenses de société 3,5 % (À quoi s’ajoutent, d’après les statistiques que nous avons s
6 de par leur chiffre d’affaires. La plupart de ces sociétés sont établies sur un plan international, et la moitié des primes qui
7 es entreprises publiques, des coopératives et des sociétés d’assurances mutuelles, qui ne sont pas précisément « capitalistes ».
8 e doit. En réalité, nous sommes en présence d’une société hiérarchisée par des traditions, non par l’argent. La distinction trè
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
9 ne, l’église). Et de fait, les femmes suisses, en société , laissent parler leurs maris ou parlent entre elles — à l’inverse de
10 e diffus dans toute l’atmosphère suisse, famille, sociétés , syndicats, armée, écoles. « Tout Suisse est pédagogue », répètent le