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e égalitaire, ni l’organisation patriarcale de la
société
— de laquelle le système trinitaire est inséparable — ni la conceptio
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fets sur la psychologie moderne, la culture et la
société
. Mais a-t-on jamais demandé à ceux qui disent que Dieu est mort, ce q
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end à se reformer spontanément chaque fois qu’une
société
ou une communauté nouvelle s’établit. C’est ainsi que la société chré
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communauté nouvelle s’établit. C’est ainsi que la
société
chrétienne du Moyen Âge a reconstitué une notion sacrale de la vie. E
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mpu la paix fausse qui semblait établie entre les
sociétés
laïques et les Églises ; qu’il a brusquement mis à nu l’État minorita
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es chrétiens sociaux cherchent à christianiser la
société
hors des Églises, si d’autre part les liturgistes cherchent à rendre
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grâce, libération, esprit, paix, justice, vérité,
société
, bien et mal, nous est donné dans notre civilisation occidentale par
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e concentrer les puissances de la nature et de la
société
dans les, mains de l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un b
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t quelque chose sur la nature et l’attitude de la
société
qui les admet : à savoir que cette société a perdu le sens du sacré.
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de la société qui les admet : à savoir que cette
société
a perdu le sens du sacré. Bien des civilisations ont existé, et peut-
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t à changer de signe selon l’état religieux d’une
société
, je me retrouve devant la question initiale : en quoi l’activité arti
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liaux changeraient radicalement d’aspect dans une
société
qui mettrait systématiquement en question les causes, les modes, les
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e. Cette éventualité n’est pas imaginaire : notre
société
actuelle est bien près de la réaliser. La crise du couple, qui existe
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lexe dans lequel il se trouvait pris au temps des
sociétés
sacrées, religieuses, ou dotées de conventions sévères, n’a pas chang
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ge, du point de vue de la famille et de la vie en
société
. On peut donc affirmer que dans l’état présent de nos mœurs occidenta
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ences les plus folles qu’ait jamais imaginées une
société
civilisée : baser le mariage, qui est durée, sur la romance, qui est
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e situation est devenue la plus banale dans notre
société
. À tel point que nos contemporains sont convaincus que « la vie va ai
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est ainsi » elle le restera toujours, car aucune
société
humaine ne saurait subsister longtemps lorsque le chiffre des divorce
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ans le domaine des mœurs. Et si par impossible la
société
moderne donnait les apparences d’un retour à certaines des vertus qu’
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ontre les données prosaïques et tyranniques de la
société
, de la morale, et plus profondément de la vie en soi. Mais la passion
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e. Si, par suite d’un réflexe de défense de notre
société
menacée d’anarchie, la romance se voit refoulée pour faire place au s
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de nouvelles orientations pour l’éducation de la
société
.bg S’attaquer à la romance au nom de la moralité serait une erreur,
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à l’instar du chrétien, le marxiste croit que la
société
présente n’a pas le droit de déterminer le tout de l’homme, et ne le
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oi », qui selon Marx serait le fait de toutes les
sociétés
passées, y compris le communisme primitif, correspond formellement, d
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celles-là précisément que l’avenir socialiste, la
société
sans classes, doit supprimer ! Le marxiste croit que le bien sort du
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as fondé, comme le répètent tous les manuels, une
société
théocratique, mais bien une société de type fédératif, respectant les
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manuels, une société théocratique, mais bien une
société
de type fédératif, respectant les diversités, voulues par Dieu, dans
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large du terme, qui peut désigner aussi bien la «
société
sans classes » de Marx, que le « Royaume de Dieu » chrétien. 26. « D
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la collectivité et l’individu dans le plan de la
société
. Et de même que l’œcuménisme retrouve la position spirituelle central
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se recrée le vide social. Quelle sera la nouvelle
société
? En ce point crucial de l’histoire — dans une situation qui rappelle
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t, elles constituent bel et bien les germes d’une
société
véritable. Elles ont leur organisation sociale, leurs chefs locaux, l
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e.) Cinquante ans d’analyses pessimistes de notre
société
et de son destin ont culminé dans l’utopie de George Orwell 1984. Il
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ent, vers une attitude générale devant la vie, la
société
et la nature dont seul le christianisme occidental peut expliquer la
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up la conception paulinienne ou évangélique de la
société
, la fraternité de tous « soit juifs, soit grecs, soit esclaves, soit
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le est à mes yeux la seule règle concevable d’une
société
des hommes non seulement pacifique mais ouverte à l’action de l’Espri