1 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
1 e égalitaire, ni l’organisation patriarcale de la société — de laquelle le système trinitaire est inséparable — ni la conceptio
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
2 fets sur la psychologie moderne, la culture et la société . Mais a-t-on jamais demandé à ceux qui disent que Dieu est mort, ce q
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
3 end à se reformer spontanément chaque fois qu’une société ou une communauté nouvelle s’établit. C’est ainsi que la société chré
4 communauté nouvelle s’établit. C’est ainsi que la société chrétienne du Moyen Âge a reconstitué une notion sacrale de la vie. E
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
5 mpu la paix fausse qui semblait établie entre les sociétés laïques et les Églises ; qu’il a brusquement mis à nu l’État minorita
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
6 es chrétiens sociaux cherchent à christianiser la société hors des Églises, si d’autre part les liturgistes cherchent à rendre
7 grâce, libération, esprit, paix, justice, vérité, société , bien et mal, nous est donné dans notre civilisation occidentale par
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
8 e concentrer les puissances de la nature et de la société dans les, mains de l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un b
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
9 t quelque chose sur la nature et l’attitude de la société qui les admet : à savoir que cette société a perdu le sens du sacré.
10 de la société qui les admet : à savoir que cette société a perdu le sens du sacré. Bien des civilisations ont existé, et peut-
11 t à changer de signe selon l’état religieux d’une société , je me retrouve devant la question initiale : en quoi l’activité arti
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
12 liaux changeraient radicalement d’aspect dans une société qui mettrait systématiquement en question les causes, les modes, les
13 e. Cette éventualité n’est pas imaginaire : notre société actuelle est bien près de la réaliser. La crise du couple, qui existe
14 lexe dans lequel il se trouvait pris au temps des sociétés sacrées, religieuses, ou dotées de conventions sévères, n’a pas chang
15 ge, du point de vue de la famille et de la vie en société . On peut donc affirmer que dans l’état présent de nos mœurs occidenta
16 ences les plus folles qu’ait jamais imaginées une société civilisée : baser le mariage, qui est durée, sur la romance, qui est
17 e situation est devenue la plus banale dans notre société . À tel point que nos contemporains sont convaincus que « la vie va ai
18 est ainsi » elle le restera toujours, car aucune société humaine ne saurait subsister longtemps lorsque le chiffre des divorce
19 ans le domaine des mœurs. Et si par impossible la société moderne donnait les apparences d’un retour à certaines des vertus qu’
20 ontre les données prosaïques et tyranniques de la société , de la morale, et plus profondément de la vie en soi. Mais la passion
21 e. Si, par suite d’un réflexe de défense de notre société menacée d’anarchie, la romance se voit refoulée pour faire place au s
22 de nouvelles orientations pour l’éducation de la société .bg S’attaquer à la romance au nom de la moralité serait une erreur,
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
23 à l’instar du chrétien, le marxiste croit que la société présente n’a pas le droit de déterminer le tout de l’homme, et ne le
24 oi », qui selon Marx serait le fait de toutes les sociétés passées, y compris le communisme primitif, correspond formellement, d
25 celles-là précisément que l’avenir socialiste, la société sans classes, doit supprimer ! Le marxiste croit que le bien sort du
26 as fondé, comme le répètent tous les manuels, une société théocratique, mais bien une société de type fédératif, respectant les
27 manuels, une société théocratique, mais bien une société de type fédératif, respectant les diversités, voulues par Dieu, dans
28 large du terme, qui peut désigner aussi bien la «  société sans classes » de Marx, que le « Royaume de Dieu » chrétien. 26. « D
10 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
29 la collectivité et l’individu dans le plan de la société . Et de même que l’œcuménisme retrouve la position spirituelle central
30 se recrée le vide social. Quelle sera la nouvelle société  ? En ce point crucial de l’histoire — dans une situation qui rappelle
31 t, elles constituent bel et bien les germes d’une société véritable. Elles ont leur organisation sociale, leurs chefs locaux, l
11 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
32 e.) Cinquante ans d’analyses pessimistes de notre société et de son destin ont culminé dans l’utopie de George Orwell 1984. Il
12 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
33 ent, vers une attitude générale devant la vie, la société et la nature dont seul le christianisme occidental peut expliquer la
34 up la conception paulinienne ou évangélique de la société , la fraternité de tous « soit juifs, soit grecs, soit esclaves, soit
35 le est à mes yeux la seule règle concevable d’une société des hommes non seulement pacifique mais ouverte à l’action de l’Espri