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découverte du Nouveau Monde ; — la culture de la
société
absolutiste et la philosophie européenne bouleversées par la Révoluti
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rdive, comme toujours, nous ramène à l’idée d’une
société
à la fois locale et universelle, sur le modèle de la culture européen
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l’Église « catholique ». Nous devons vouloir une
société
qui traduise cette formule génétique de la culture européenne. Petite
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n publique. Car la recherche et l’invention d’une
société
fondée sur les pouvoirs locaux et sur la participation civique, peut
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et génétiques auxquels conduit nécessairement une
société
de Production massive, de Publicité manipulatrice, de Pouvoir militai
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ion simple tout au moins dans son énoncé : Quelle
société
rénovée voulons-nous, nous autres « bons Européens » — comme disait N
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ils sont, ou tels qu’ils peuvent devenir dans une
société
rénovée ? Selon quelle hiérarchie de valeurs ? Gagée sur quoi ? Valeu
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du siècle : Quel est le sens de ma vie dans cette
société
qui n’en est pas une, puisqu’elle n’est plus une communauté ? […] Ce
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ndes Agences techniques, soit du profit privé des
sociétés
, soit encore, en dernière analyse, de notre propre choix matérialiste
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. Et nous venons de voir que ces deux pôles de la
société
à construire correspondent aux exigences constitutives de la personne
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de notre survie ». James Fawcett s’interroge : la
société
occidentale est-elle encore gouvernable ? A-t-elle encore une volonté
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e puissance mondiale écrasante, mais de créer une
société
où la personne puisse se réaliser. ⁂ J’eus ensuite à passer la parole
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ux, l’État-nation nous apparaît comme la forme de
société
la moins adaptable aux nécessités de notre temps. Le thème central de
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t, sans majuscule, doit rester le serviteur de la
société
, et non point s’ériger en son maître. Pour cela, il importe notamment
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ise un changement d’attitude de l’homme face à la
société
, un changement de mentalité et un changement de finalités. 5. Les ava