1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 la peinture moderne » (30 octobre 1924)b Lundi soir , dans la salle du Lyceum, M. Conrad Meili parla des écoles qui représ
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
2 ue de théologie et de philosophie, inaugura lundi soir à l’aula, devant un très nombreux public, la série des conférences qu
3 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
3 ns ces milieux, comme M. Terrisse l’avait fait le soir avant pour les milieux d’ouvriers noirs au Cap. Sans toucher à des qu
4 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
4 ideau sur une pièce inexistante. Enfin le dernier soir , l’on vit apparaître un fakir… Il y eut aussi une assemblée délibérat
5 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
5 sistances à mon gré, agir sur les choses… Vers le soir , l’ardeur tombe : agir ? dans quel sens ? Provisoirement j’étais sauv
6 premier gage du divin… Reprendre l’offensive — au soir , je m’amuserai à mettre des étiquettes sur mes actes… Déjà je sens un
6 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
7 Soir de Florence (13 novembre 1926)h Des cris mouraient vers les berges
8 vre ainsi simplement. Sans pensée, perdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature… L’homme chante une plainte ino
9 s pensée, perdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature… L’homme chante une plainte inouïe de pureté. Deux phras
10 lève les yeux, au plus beau ciel du monde. h. «  Soir de Florence », La Semaine littéraire, Genève, n° 1715, 13 novembre 19
7 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
11 la Faculté des lettres de Grenoble, traita mardi soir à la Grande salle des Conférences, devant un très bel auditoire, est
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
12 nt aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle, le soir , à la lampe, en compagnie de sa femme (elle peint aussi, d’un œil reg
9 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
13 ce au rêve que ma chambre où m’attendent tous les soirs quand je rentre du bureau, les gages insupportablement familiers d’un
14 n hasard qui opère au commandement de la main. Ce soir -là, une confiance me possédait, telle que je savais très clairement q
15 yeux las pleins de rêves, la misère qui fait des soirs si doux aux amants quand ils n’ont plus que des baisers au goût d’adi
16 r quelque chose. Je suis plein de rêves, certains soirs . Il faut pourtant rentrer chez moi, et ma femme m’embrasse et me rega
10 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
17 Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)l À Pierre Jeanneret et à son
18 ssants de la Petite-Entente, applaudissait chaque soir entre deux airs anglais Le Beau Danube bleu, en commémoration polie d
19 s balles perdues d’une révolution. Sept heures du soir  : le moment était venu d’arrêter le plan de la soirée, et cette prome
20 leur vie aux “divertissements” entre 10 heures du soir et 4 heures du matin, moyennant tant de schillings, dans un décor ban
21 fs il y a très, très longtemps… Et pas de Lune ce soir , il serait dangereux de s’endormir. » Se penchant vers moi il prononç
22 ose comme « pâtisserie-crème fouettée ». l. « Un soir à Vienne avec Gérard », La Nouvelle Semaine artistique et littéraire,
11 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
23 est pourquoi il fait peur à certaines femmes. Un soir , après quelques alcools et un échange de pensées au même titre avec u