1 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
1 ue la nuit cède au jour ! » Et en effet, le 20 au soir — à peine plus tôt que je ne l’avais prévu — j’inscrivais ce terrible
2 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
2 nouvelle de l’entrevue décisive de Munich. Or, au soir de ce jour me parvint par hasard un livre sur la vie de Nicolas de Fl
3 r ! Le message de l’ermite du Ranft prenait en ce soir -là des résonances monumentales. Cette petite scène de Stans, que nous
3 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
4 ivre, les délais à courir, le sujet à me fuir… Le soir même, rentrant de voyage, ma femme m’apporte un livre qu’on lui a prê
4 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
5 e tendresse que de remords que je me rappelle, ce soir , ces folies-là. Nous vivions dans une sorte d’euphorie constante, cou
6 petite morale du loisir ne serait pas déplacée ce soir , dans cette halte du souvenir et de l’amitié. Vraiment, quel danger y
5 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
7 e en année. Ce qu’il nous importe de souligner ce soir , ce sont deux traits évidemment communs à ces régimes : leur oppositi
6 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
8 rain bondé. Une journée de reprise à Paris. Et ce soir , me voici [venu] assister à un débat, dans un cercle privé, sur la po
9 ent — que le premier se mette à lire la presse du soir , et le second celle du matin ? 29 avril 1939 Comme il est des stratèg
10 39 La grande ville traversée dans la fatigue d’un soir pluvieux, Paris, souffrance des visages et des corps, exercice perpét
11 uit des autobus ; ou bien de ce temple, un samedi soir , où la Sainte-Cène est partagée dans un silence de catacombes. Centre
12 Saint-Germain-des-Prés, le printemps parisien, ce soir , tourne à l’été. La lumière mûrit là-haut, sur le clocher roman de ce