1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
1 Au creux des couleurs assourdies d’un divan le soir , tandis que les fenêtres s’ouvraient vers le ciel de Florence… « Du s
2 mouvante encore après tant d’autres, comme chaque soir un nouveau ciel. Il l’a transcrite en brèves notations lyriques suiva
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
3 ir, il ne sait plus de quels souvenirs ; jusqu’au soir où la douleur nette d’un amour réveillé l’envahit. Et Closain rencont
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
4 as entrer dans les cafés. Et puis, c’est égal, ce soir , tout cela est sans importance, car voici « l’heure des petits arbres
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 capitale qui s’avance dans la lumière fauve d’un soir chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de ref
6 chaine). Et la générosité des lumières d’avant le soir , — et cette espèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appell
7 ent encore le Turc. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoya
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 ront comme une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout
9 déjà familières, et le passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’
10 chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêmes. À l’entrée d’un
11 se sont arrêtés dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel. Une lassitude de steppe brûlante, des ondulation
12 e l’Europe. Le hasard a voulu que j’y entende, un soir , une présentation de musiques hongroises, turques et chinoises, comme
13 chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir -là, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux
14 jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir , petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magda, to
15 mbre, en plein jour, tu t’endors, et que, vers le soir , tu t’éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit