1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
1 n pierraille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
2 est une ville alpestre. Je l’ai senti le premier soir , quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de c
3 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
3 ec Paul Tillich. Je ne l’avais pas revu depuis un soir de 1941, à New York, chez notre ami commun Reinhold Niebuhr. Cet Alle
4 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
4 qu’un désire absolument donner une conférence, le soir , c’est à ses risques et périls : toute déclaration publique est oblig
5 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Stampa, vieux village… (15-16 janvier 1966)
5 i avait été celui de son père. Il y est mort hier soir , puisse-t-il y reposer parmi les siens, « réuni à son peuple », comme
6 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
6 e en fait, ou avec qui j’ai rompu sans retour. Ce soir -là, au Village, mon rêve est devenu vrai : nous parlons certes de ce
7 e défi qui rejoignait l’Inquisition… Il me dit ce soir -là qu’il avait découvert au fond de l’échoppe d’un cordonnier dans le
8 Jamais Breton ne s’est mieux défini. Je pense au soir où il déclara qu’il était temps d’aller regarder de plus près qu’on n