1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 bre 1933 Un discours de l’instituteur. — Hier soir , séance de Pathé-Baby organisée par l’instituteur dans la salle de l’
2 es moments pathétiques. Il annonce le sujet de ce soir  : Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis ! Je vous rapp
3 ssons devant la salle du curé, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma. On entend rire des enfants. J’ai rencontré le c
4 ’y aller à bicyclette. J’essaierai d’aller demain soir entendre la réponse. La mère Renaud vient de m’apprendre que l’orateu
5 cembre 1933 Je relève les notes prises l’autre soir sur la conférence à A. — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en
6 p trop simple pour vous, ce que je leur ai dit ce soir , j’ai dû vous ennuyer, hein ? » Je le rassure vivement. Ce n’est pas
7 re, ici. Surtout il ne faut pas les brusquer ! Ce soir , il s’agissait de gagner leur confiance, et ensuite on verra si on pe
8 ier 1934 (dans l’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de pétrole, e
9 moi, je sais seulement que je suis content. Hier soir , j’avais fait une dernière revue de nos possibilités de subsister pen
10 le plus frappé, c’est que je m’étais fâché, hier soir , et que la Providence, évidemment, se payait ma tête. Ensuite, j’ai c
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
11 eur gros raisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir . Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticu
12 rennent le train à la gare Saint-Lazare un samedi soir de beau temps, en plein été, est assez exactement prévu par les stati
13 un des voyageurs « autorisés » à se déplacer, tel soir , l’impression de n’avoir plus sa liberté. Ce qui change tout, bien en
14 pas m’occuper ! » À 10 kilomètres d’ici, hier au soir , pressé de rentrer, je hèle une auto. Le conducteur est seul. Il me p
15 convoqué aux entretiens qu’il organise le samedi soir , dans une salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroisse.
16 es ». — Ils étaient en effet une quarantaine hier soir . Je suis entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fo
17 temps à autre. Il paraît que ça chauffe certains soirs . Mais le pasteur préside et on le respecte : 40 ans ; genre ancien co
18 n. 17 février 1935 Cercle d’hommes. — Hier soir , le sujet de l’entretien était le problème de l’autorité. La discussi
19 eures, sans bouger, et s’envole d’un coup vers le soir . Le lendemain, il est là, de nouveau, posé sur une tuile ronde. Il y
20 is m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier soir la rédaction de ma conférence. Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C
21 ondoléances » à Mme Simard, que j’ai trouvée hier soir devant son seuil, entourée de commères qui entretiennent son chagrin
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
22 e souviens de hauts rochers encore clairs dans un soir alpestre… Immédiatement après les blocs, s’étend la zone. Je longe l’
23 ité, la fin des fins, le bout de la nuit… Mais ce soir , sous les marronniers de l’avenue, tout ce petit monde me paraît libr
24 e petit monde me paraît libre et presque heureux. Soir villageois, ciel de province, jeux d’enfants et chansons, accordéon…
25 fioritures rapides comme des « n’est-ce pas ». Soir du 14 juillet 1935 Voici une heure que je suis assis à une terrass
26 urager ! 21 juillet 1935 Je traversais hier soir le quartier de Passy, en proie aux tourments bienheureux d’une idée s
27 hain. — Dans la presse du métro, vers 7 heures du soir , j’avais réussi à ouvrir le livre que je portais, et j’avais coupé qu