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je me mis à réfléchir à ce que je vous dirais ce
soir
, je me trouvais quelque part en Suisse, dans une ferme montagnarde, a
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culture en Occident. Je voudrais vous montrer ce
soir
que cette crise n’est pas théorique ; qu’elle a des conséquences prat
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ues milliers de lecteurs, tandis que la presse du
soir
et la radio atteignent chaque jour des millions d’hommes, et c’est to
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une pareille faute, nous ne cessons d’y penser ce
soir
. L’appel des peuples reste insatisfait. Il continue à nous poser la