1 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
1 prétendus mystérieux. Ils écoutaient à la radio, soir après soir, des bruits sans suite, cacophonie abrutissante de musique
2 mystérieux. Ils écoutaient à la radio, soir après soir , des bruits sans suite, cacophonie abrutissante de musiques de tous l
3 n pierraille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
4 e croit sauvé. Mais voici que la Mort reparaît le soir même dans son palais. — Par Allah ! s’écrie le Vizir, tu m’as trompé 
5 it simplement pour te dire que je t’attendrais ce soir ici. Ainsi le diable nous fait signe dans nos vices et nous attend da
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
6 l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir , et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l’Éternel Die
7 e dire : Comment peut-on s’aimer autant ? Un beau soir , elle se mit à le battre, et le laissa pour mort sur la descente de l
8 urire qui tordait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir , elle le battit encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Po