1 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
1 mes genoux griffés comme ceux des garçons, et le soir quand quelqu’un souhaitait invariablement « qu’il fasse beau demain »
2 ez beaucoup. Vraiment, vous devez être jaloux, ce soir . Quand vous cédez à votre manie de remuer des métaphysiques à propos
2 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
3 ’est pourquoi il fait peur à certaines femmes. Un soir , après quelques alcools et un échange de pensées au même titre avec u
3 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
4 ence, se perdre dans des yeux. (Certaines heures, soirs , aubes, passages.) L’ivresse naissante des amants, c’est le silence q
4 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
5 ra dans Buda, et me fera visiter le Musée, — à ce soir  ! Il s’en va, très satisfait de lui, et de moi aussi, je crois. Nous
6 i, je vous le répète, nous ne parlions jamais. Le soir , j’avais mes conférences ou un dîner. Et je passais le reste de la nu
7 une dernière fois. Je prendrai donc l’express du soir . J’arrive à Berlin le lendemain. Sur le seuil de notre villa de Zehle
5 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
8 la colère soudain là, ou le printemps, ou chaque soir la nuit. (Une première lampe s’est allumée. Quelqu’un dit : « Elle es