1
s de fumée et qui se cachent dans les journaux du
soir
, soit lentement doublé par le rapide de Bretagne. Ce long passage lum
2
jà, nous la portons encore comme le souvenir d’un
soir
d’adolescence sur la prairie où des filles s’éloignent en chantant. V
3
rève nuit d’août et souvenirs de nos enfances. Ce
soir
des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des ren
4
, est revenue avec insistance : il la joue chaque
soir
, plusieurs fois. Je suis allé lui demander ce que c’était. « L’hymne
5
capitale qui s’avance dans la lumière fauve d’un
soir
chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de ref
6
chaine). Et la générosité des lumières d’avant le
soir
, — et cette espèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appell
7
ent encore le Turc. Tandis que nous y rôdions, un
soir
étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoya
8
ront comme une caresse indéfinie de la puissance.
Soir
de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout
9
déjà familières, et le passage des trains chaque
soir
nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’
10
chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque
soir
plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêmes. À l’entrée d’un
11
se sont arrêtés dans cette plaine. Mais c’est le
soir
au camp, perpétuel. Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations
12
e l’Europe. Le hasard a voulu que j’y entende, un
soir
, une présentation de musiques hongroises, turques et chinoises, comme
13
chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce
soir
-là, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux
14
jardins publics à l’écart d’un concert du samedi
soir
, petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magda, to
15
mbre, en plein jour, tu t’endors, et que, vers le
soir
, tu t’éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit
16
veau m’enfonçant au hasard dans la forêt. Vers le
soir
, j’étais bien perdu. La lumière montait vers la cime des arbres, aux
17
s un œil égrillard. Impossible de lire Meister ce
soir
. Je ne sais pas ce qu’il y a, sinon que je dois retenir violemment un
18
de l’air des collines, il semble que mon sang ce
soir
la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jard
19
Rose de Tannenbourg L’esplanade du Brühl, un
soir
de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et d
20
la servante au corridor.) 30 juin 1929 Hier
soir
sur la route des collines, pendant une promenade d’après dîner avec m
21
u qui m’attendait à la lisière de cette forêt tel
soir
d’été, quel sujet d’examen venait de m’être réservé, ou quelles lettr
22
uelles lettres j’allais recevoir le lendemain. Le
soir
montait autour de nous, des fenêtres s’allumaient à nos pieds dans le
23
dans la matinée, une à Neuchâtel à sept heures du
soir
. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné qui mentionne en pass
24
er dernier14. Lorsque j’ai vu ces enveloppes hier
soir
, un peu après neuf heures, sans rien deviner de leur contenu que je n
25
e aussi de leurs familiarités. J’étais attablé ce
soir
-là dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer
26
me —, et l’amour qu’ils essaient encore le samedi
soir
n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais seuleme
27
bre 1933 Un discours de l’instituteur. — Hier
soir
, séance de Pathé-Baby organisée par l’instituteur dans la salle de l’
28
es moments pathétiques. Il annonce le sujet de ce
soir
: Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis ! Je vous rapp
29
ssons devant la salle du curé, qui donne aussi ce
soir
une séance de cinéma. On entend rire des enfants. J’ai rencontré le c
30
’y aller à bicyclette. J’essaierai d’aller demain
soir
entendre la réponse. La mère Renaud vient de m’apprendre que l’orateu
31
cembre 1933 Je relève les notes prises l’autre
soir
sur la conférence à A… — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en
32
p trop simple pour vous, ce que je leur ai dit ce
soir
, j’ai dû vous ennuyer, hein ? » Je le rassure vivement. Ce n’est pas
33
re, ici. Surtout il ne faut pas les brusquer ! Ce
soir
, il s’agissait de gagner leur confiance, et ensuite on verra si on pe
34
ier 1934 (dans l’île) Nous sommes rentrés hier
soir
dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de pétrole, e
35
moi, je sais seulement que je suis content. Hier
soir
, j’avais fait une dernière revue de nos possibilités de subsister pen
36
le plus frappé, c’est que je m’étais fâché, hier
soir
, et que la Providence, évidemment, se payait ma tête. Ensuite, j’ai c
37
eur gros raisin bleu. Nous y sommes allés hier au
soir
. Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticu
38
pas m’occuper ! » À dix kilomètres d’ici, hier au
soir
, pressé de rentrer, je hèle une auto. Le conducteur est seul. Il me p
39
convoqué aux entretiens qu’il organise le samedi
soir
, dans une salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroisse.
40
es ». — Ils étaient en effet une quarantaine hier
soir
. Je suis entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fo
41
temps à autre. Il paraît que ça chauffe certains
soirs
. Mais le pasteur préside et on le respecte : quarante ans ; genre anc
42
n. 17 février 1935 Cercle d’hommes. — Hier
soir
, le sujet de l’entretien était le problème de l’autorité. La discussi
43
eures, sans bouger, et s’envole d’un coup vers le
soir
. Le lendemain, il est là, de nouveau, posé sur une tuile ronde. Il y
44
is m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier
soir
la rédaction de ma conférence. Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C
45
ondoléances » à Mme Simard, que j’ai trouvée hier
soir
devant son seuil, entourée de commères qui entretiennent son chagrin
46
e souviens de hauts rochers encore clairs dans un
soir
alpestre… Immédiatement après les blocs, s’étend la zone. Je longe l’
47
ité, la fin des fins, le bout de la nuit… Mais ce
soir
, sous les marronniers de l’avenue, tout ce petit monde me paraît libr
48
e petit monde me paraît libre et presque heureux.
Soir
villageois, ciel de province, jeux d’enfants et chansons, accordéon…
49
envoi aux calendes de la Grande Communication…
Soir
du 14 juillet 1935 Voici une heure que je suis assis à une terrass
50
urager ! 21 juillet 1935 Je traversais hier
soir
le quartier de Passy, en proie aux tourments bienheureux d’une idée s
51
n. — Dans la presse du métro, vers sept heures du
soir
, j’avais réussi à ouvrir le livre que je portais, et j’avais coupé qu
52
vélait aussi mauvais ou pire que je l’estimais ce
soir
-là, Abetz ni son chef Ribbentrop n’auraient le droit de s’étonner que
53
te, offert par le hasard d’une rencontre, un beau
soir
de juillet aux Deux Magots. Je leur réponds qu’on ne m’a pas nommé da
54
, une causerie sur le mouvement personnaliste, ce
soir
, à la réunion politique des SA. — Que pensez-vous de ce livre ? — C’
55
ardeur au service du Parti. Voici la « Prière du
soir
d’un Philistin » (Spiessers Nachtgebet) publiée par le Bewegung de ce
56
du peuple et je n’ai pas manqué le service 53, ce
soir
. J’ai fait attester ma présence et j’ai lu avec enthousiasme le VB 54
57
par exemple ce grand industriel qu’il a invité ce
soir
avec nous, et qui posait naguère au social-démocrate. Nous parlons po
58
ie de famille possible, avec ce système. Tous les
soirs
, deux de mes enfants sur trois sont pris par le Parti. Ma fille aînée
59
s empêcher notre fils, qui a 15 ans, de sortir un
soir
qu’il est un peu malade, par exemple, nous risquerions une mauvaise h
60
vérifier si la porte a été refermée à clef. Hier
soir
, il m’avait remis la note du mois de décembre. En plus des 70 marks p
61
e leur mouvement, et communier dans la prière. Ce
soir
, le pasteur Niemöller parle ici à cinq-mille auditeurs réunis dans le
62
juin 1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce
soir
. Hier, nous chantions encore avec les étudiants, dans une auberge for
63
mpression ? Ah ! si je pouvais garder celle de ce
soir
, et celle-là seule, la dernière et la plus ancienne, tous mes souveni
64
itlérisme. 53. Le service des SA qui a lieu deux
soirs
par semaine. 54. Vœlkischer Beobachter, quotidien officiel du Parti
65
la dernière révision du texte dactylographié. Au
soir
du 21 juin, solstice d’été, dernier triomphe du Jour sur une Nuit don
66
je voudrais faire un opéra, un jeu sacré… Chaque
soir
vers sept heures, au Florian, place Saint-Marc. Le conservateur du Pa
67
ès haute, pour manifester sa liberté d’esprit. Un
soir
, il déclare à la cantonade que si l’Allemagne d’Hitler déclenche une
68
mes uniformes dans ma longue malle d’officier. Le
soir
même, une dame pieuse m’a fait remettre une biographie nouvelle de Ni
69
nqueurs du Téméraire. C’était pour moi jusqu’à ce
soir
une simple image de manuel scolaire. Je parcours le volume, et voici
70
utorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce
Soir
plutôt que par l’Intransigeant. Ce n’est pas signer ici plutôt que là
71
nt la menace hitlérienne (voir le manifeste de Ce
Soir
) ont exprimé en toute clarté qu’ils étaient de vrais libéraux, irresp
72
s’élever rayonnants dans la lueur éternisée d’un
soir
d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et dé
73
Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce
soir
, me voici [venu] assister à un débat au cercle des Nouveaux Cahiers s
74
ent — que le premier se mette à lire la presse du
soir
, et le second celle du matin ? 29 avril 1939 Comme il est des s
75
La grande ville traversée dans la fatigue d’un
soir
pluvieux, Paris, souffrance des visages et des corps, exercice perpét
76
des autobus ; ou de ce temple de Passy, un samedi
soir
, où la Sainte-Cène est partagée dans un silence de catacombes. Centre
77
disparaissant derrière les titres des journaux du
soir
que le malheur des temps est une vieille expression. Oui, de tout tem
78
e dépend pas de nos misères. J’y songeais l’autre
soir
, à Orléans, en entendant la Jeanne d’Arc au bûcher de Paul Claudel et
79
ser 72. 1bis, rue Vaneau, 16 juin 1939 Hier
soir
, nous trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de roses rouges env
80
Saint-Germain-des-Prés, le printemps parisien, ce
soir
, tourne à l’été. La lumière mûrit là-haut, sur le clocher roman de ce
81
Intermède Le
soir
du 28 août 1939, je finissais de dîner dans un hôtel de La Chaux-de-F
82
chœur me dit : « C’est difficile de chanter ça ce
soir
. Les mots nous restent dans la gorge… » Le drame ne put être joué, la
83
e travail de la journée — me décourage un peu, ce
soir
. C’est le contraire de ce qui fonde nos vraies valeurs et notre raiso
84
e de l’unique nécessaire ? 6 juin 1940 Hier
soir
, à Lausanne, avec Theo Spoerri, pour l’émission nationale à la radio.
85
n pierraille lépreuse. N’importe quel badaud d’un
soir
de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur
86
savent ce qu’ils font. » Lundi 17 juin 1940,
soir
Faisons le point, bon exercice pour rester maître de soi-même. Pet
87
ai même plus mon pistolet, que je déposais chaque
soir
à côté de mon lit, depuis quelque temps. La radio, heure par heure, a
88
st de ne pas sortir dans les rues de Berne chaque
soir
avec une petite femme à chaque bras. — À vos ordres, mon colonel ! J’
89
déjà surpris en France… Nous devions repartir ce
soir
en train, mais en prenant l’avion de Madrid, demain matin, nous gagne
90
de. Cinquième journée Départ de Madrid hier
soir
dans un train archiplein — beaucoup de voyageurs n’ont pu y trouver p
91
ver place et tenteront de prendre celui de demain
soir
— et sans avoir dîné, faute de restaurant dans la gare ou aux alentou
92
ns du même peuple… 17 septembre 1940 Chaque
soir
, les passagers se pressent devant la porte de la cabine du capitaine,
93
est une ville alpestre ! Je l’ai senti le premier
soir
d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-
94
au coucher du soleil. À New York, la lumière du
soir
évacue rapidement les rues profondes, remonte au sommet des buildings
95
e de Tuxedo Park en sera pour ses conserves. Hier
soir
, je me suis mêlé à la foule de Times Square. Je n’avais vu tant d’hom
96
s chiens. Il vient sonner vers les huit heures du
soir
, s’assoit au living-room, accepte un verre, et me demande avec applic
97
un garçon d’une quarantaine d’années. Le premier
soir
, il m’a dit mon prénom, lui c’est Michael, combien il gagne par année
98
nies, — Times Square après un dîner solitaire, un
soir
de pluie, c’est le contraire d’un exercice spirituel : une véritable
99
ses discours. (Nous en avons longtemps parlé hier
soir
chez Raymond de Saussure, avec deux autres psychanalystes.) … mon liv
100
ois plantureuses négresses. Autour de la table ce
soir
, la très belle vedette du strip-tease Gipsy Rose Lee (elle termine un
101
tement inspirée de Kierkegaard. Il m’a proposé ce
soir
de fonder avec lui une revue dont le programme tel qu’il l’esquisse,
102
ge qui n’est qu’un faubourg de Boston. Le premier
soir
en arrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa cham
103
de trois rues, et des cafés où vers six heures du
soir
se groupent autour d’un verre et d’un problème les écrivains, les jeu
104
t peu, ce qui est le privilège des génies. ⁂ Hier
soir
on m’a fait faire le tour d’un des lacs voisins de la ville. Tout au
105
ment les plus beaux disques jamais faits. Tout un
soir
à Radcliffe College, dans la discrète discothèque du sous-sol, je les
106
r pâle sur le ciel enfumé de Cambridge, ce fut un
soir
, adieu. Demain la vie précieuse mourra dans le printemps léger. Ne
107
ssieurs en smoking blanc et des femmes qui chaque
soir
montrent une nouvelle robe, — à cette même heure en France, et en Rus
108
es. Je joue deux pièces et gagne cinq dollars. Le
soir
, elle m’invite à sa table pour une partie de bingo, jeu de hasard. Su
109
er voir le directeur d’El Mundo, grand journal du
soir
. Nous entrons à minuit dans son bureau. Il me tend un verre de whisky
110
d’un visa de retour aux États-Unis. Téléphoné ce
soir
à Jovita B… « Je m’ennuie, je m’énerve, n’auriez-vous pas une estanci
111
z savoir comment les choses se passent, allons ce
soir
, en rentrant à New York, à la gare de Pennsylvanie. Nous y fûmes. La
112
s caractères : Moi aussi ! dit Mussolini. L’autre
soir
, à dîner chez la comtesse di Martino, née von Kleist, avec le Secréta
113
tain déjà lui succède, seul à parler très bien ce
soir
. Parrainé par Koyré et Gurvitch. Je donnerai mon cours dès avril dans
114
ours et nuits de travail acharné, j’ai tenté hier
soir
une sortie. Deux signes m’ont prouvé que jusqu’à nouvel ordre je suis
115
vus presque chaque jour le mois dernier. Mais ce
soir
-là, je n’avais rien à dire, et me demandais non sans angoisse ce que
116
a guerre, et le cœur plus libre d’aimer ? Oui, ce
soir
. 14 mars 1942 Promenade autour d’un square terne et boueux du b
117
is allé voir mes enfants à Long Island, le samedi
soir
, et le dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en vil
118
igieuse ici qu’à Paris même : surréalisme. Chaque
soir
, pendant que mon texte terminé sous pression passe par une série de b
119
le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un
soir
de New York portant gauchement sous le bras une longue boîte noire, d
120
s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier
soir
dans le hall. Maintenant, on ne saurait plus le faire sortir de Bevin
121
lus tard en montrant ce dessin : c’est moi ! » Le
soir
, il nous lit les fragments d’un livre énorme (« Je vais vous lire mon
122
rnées soustraites au Destin. La mer est grise, le
soir
vient, les oiseaux sifflent, et l’automne atténue la sauvagerie de la
123
l tournant et basculant, qui se transformerait le
soir
en lit, et d’où sans se lever l’on atteindrait le téléphone, la poign
124
sieurs semaines, je téléphone chez elle un samedi
soir
. « Que devenez-vous ? C’est bien par chance que vous me trouvez chez
125
ce que vous me trouvez chez moi, j’ai mon premier
soir
de congé… Well, je suis riveteuse dans une usine de Long Island. Dix
126
Quelques jeunes gens viennent boire un verre, le
soir
. Un violoniste s’escrime à vingt reprises sur le deuxième Concerto br
127
Europe. J’en connais par avance la nostalgie. Le
soir
vient dans un luxe américain d’ocres, de roses, d’argents et d’éclats
128
le de domestiques d’Avignon ; et je suis seul. Le
soir
je vais à cinq minutes de là dîner dans la « grande maison », résiden
129
comme on approche du Waldorf : « Y a du peuple ce
soir
. Ce serait-il pour ce général français ? — Oui. Je vais le voir. — Al
130
— Quand finira la guerre ? C’était le jeu d’hier
soir
. J’ai répondu : 4 mois et 3 semaines97. Les trois autres joueurs : 8
131
é — c’est ainsi que je me sens et me décrirais ce
soir
. Pourtant, bon travail ces jours-ci, et confiance dans ce que je vais
132
en paraissais fort ennuyé, nos voisins vinrent un
soir
nous en offrir, et c’est ainsi que nous avons fait connaissance. Deux
133
pourrait pas les vendre. Ainsi de suite. Enfin ce
soir
: — Vous me disiez qu’on n’a jamais vu vivre un groupe humain dans l’
134
s les domaines, ce même mouvement de retrait.) Le
soir
, faute d’échecs, nous essayons de créer quelques problèmes avec des C
135
ui aussi sa volée grêle, portée par l’eau dans le
soir
clair et chaleureux. J’ai dit : « C’est la paix, cette fois-ci. » C…
136
uts rectangles troués de lumières et de scènes du
soir
, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une radio clame Amapola,
137
st fait depuis quelques heures, on l’annoncera ce
soir
. Décembre 1945 Comme je ne passe ici que trois jours par semain
138
sses de messages ! Le 3 décembre, à dix heures du
soir
, un monsieur qui n’a pas laissé de nom, c’est sûrement un Européen. U
139
Non, mais le ton… Mrs H… vous invitait pour hier
soir
, dommage. Miss Patricia Thompson, avec un p, vous fait dire qu’elle p
140
. Et dans la rue, ces hurlements de femme, chaque
soir
, je ne sais jamais s’il s’agit d’une ivrogne ou d’une évangéliste qui
141
de la matinée. Voici déjà l’après-midi, voici le
soir
, nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite.