1 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
1 prétendus mystérieux. Ils écoutaient à la radio, soir après soir, des bruits sans suite, cacophonie abrutissante de musique
2 mystérieux. Ils écoutaient à la radio, soir après soir , des bruits sans suite, cacophonie abrutissante de musiques de tous l
3 pierraille lépreuse. « N’importe quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
4 e croit sauvé. Mais voici que la Mort reparaît le soir même dans son palais. — Par Allah ! s’écrie le Vizir, tu m’as trompé 
5 it simplement pour te dire que je t’attendrais ce soir ici. Ainsi le diable nous fait signe dans nos vices et nous attend da
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
6 l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir , et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l’Éternel Die
7 e dire : Comment peut-on s’aimer autant ? Un beau soir , elle se mit à le battre, et le laissa pour mort sur la descente de l
8 urire qui tordait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir , elle le battit encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Po
4 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
9 ours et nuits de travail acharné, j’ai tenté hier soir une sortie. Deux signes m’ont prouvé que jusqu’à nouvel ordre je suis
10 vus presque chaque jour le mois dernier. Mais ce soir -là, je n’avais rien à dire, et me demandais non sans angoisse ce que
11 a guerre, et le cœur plus libre d’aimer ? Oui, ce soir . 14 mars Promenade autour d’un square terne et boueux du bas de la vi
12 it de paraître à New York, Saint-Exupéry, un beau soir , avec sa véhémence coutumière, me fit reproche d’avoir jeté ce mot «