1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 des « grands corps athlétiques ». Sur le stade au soleil se déploient les équipes, et l’équipier Montherlant les contemple, ém
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
2 en dire du diable et se termina sous le plus beau soleil de printemps. Libre à qui veut d’y voir un symbole. On ne saurait exa
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 ndent leurs génies dans une sorte de cauchemar de soleil et de sang. On peut penser ce qu’on veut de ce paganisme exalté, tout
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 à ce chant. L’odeur du fleuve est son parfum, le soleil rouge sa douleur. Les bœufs blancs, les roues peintes du char, l’Ital
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
5 ages sont plus calmes, les couleurs s’avivent, le soleil est sur le point de reparaître… Charles Humbert ou comment on passe
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 ière et fait allusion à tout ce qu’il y a sous le soleil , et même ailleurs. Croyez-moi, ce qu’il faudrait écrire, c’est une Vi
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
7 is ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand soleil sur toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le s
8 reries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regards. Stéphan
8 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
9 uris qui trempent… Tout est familier, paisible au soleil . Il passait des heures à cette fenêtre, à marmotter. Vingt-sept ans d