1 alpestre. Je l’ai senti le premier soir, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur oran

2 centaines d’étudiants déambulent, se groupent au soleil ou sur des bancs, jonchent les marches des divers halls. Beaucoup son

3 rre sur la terrasse du Café de la Poste, au grand soleil . J’écrivais à ce moment un livre sur la Suisse, c’était la raison de

4 « Bou Diou ! ce vent-là risque d’emporter même le soleil  ! » Mais après le monde des enfances, entre le monde des lettres et c

5 un désert de rochers rouges, brûlé d’implacables soleils , les puissances les mieux calculées dans leur opération physique et l

6 Nouveau Monde par un éclat « plus clair que mille soleils  », cet homme était d’Europe par les mesures et les affinités de sa pe

7 dans cet autre désert d’El-Amarna, d’une cité du Soleil absolu : il en avait la sensitivité, l’ossature délicate allongée, le

8 ’autres, terminent calmement leur journée sous le soleil , je me sens encore tout imprégné de la sagesse, à la fois moderne et