1 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
1 Je l’ai senti le premier soir d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur oran
2 ace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil . À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues profondes
2 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
3 baryton viennois de l’Opéra de New York, bains de soleil dans un parterre de jeunes déesses américaines, danse aux salons et f
4 pantoufles. Tel est pris et l’autre laissé. Et le soleil qui se couche ici, au même instant se lève ailleurs. C’est le même so
5 , au même instant se lève ailleurs. C’est le même soleil . Je pense que si j’étais en prison cette nuit, je n’aurais aucun repr
6 ous importés. Traversée de l’île en auto, sous un soleil qui attaquait en piqué. Pendant un kilomètre, il pleut des cordes, et
7 cirque immense des collines, piquées de villas au soleil , par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’herbe d’un marais.
8 it : olla / Je vais regarder, demain matin, si le soleil ne se lève pas à l’Occident. Mais au-delà de ce pittoresque accidente
9 ne de Maïpo pendant des heures, jusqu’à ce que le soleil couchant ait flambé les plumets des roseaux. Je ne pouvais m’en éloig
3 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
10 ’après-midi, voici le soir, nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite. La stratosphère se dore. Des c