1 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
1 là ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand soleil sur toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le s
2 reries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regards. Stéphan
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
3 ns ombre. Surprendre ce Français, c’est passer au soleil  : c’est donc avouer son terrible secret ! Il arrive souvent qu’un étr
4 le contrat, lorsque son imposture éclate au grand soleil , Mina s’écrie : « Oh ! mon pressentiment ! Oui, je le savais depuis l
5 adapté, — celui qui ne peut « trouver sa place au soleil  », et qui ne subsiste dans la compagnie de ses semblables que par un
6 mmençait à croître lorsqu’il se promenait dans le soleil . » Ici donc, pas de fixation morbide, comme dans Schlemihl. Aussi bie
3 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
7 eux de populace et de parole rapide. Peut-être le soleil éteint se promène-t-il depuis quelques instants dans un ciel sale. Qu
8 utre côté, du côté de ce monde mal fait… Parut un soleil nouveau. Et ceux qui le voyaient prenaient un visage neuf, leurs yeux
9 tume de la Cour. Bien peu soutinrent les derniers soleils et l’agrandissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection,
10 amment au sein d’une perpétuelle pauvreté. Devint soleil . Et quel est celui qui s’approche avec son parapluie mal fermé sous l