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symbolique ? À droite, l’Orient des Formes et du
Soleil
levant, au-delà duquel réside l’univers angélique ; à gauche, l’Occid
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élique ; à gauche, l’Occident de la Matière et du
soleil
couchant, au bord le plus lointain duquel s’étend une « mer chaude et
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cidentel, de physique ou d’anecdotique. Car si le
soleil
se lève à l’Orient pour les Grecs, il en va de même pour les Hindous,
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cte de l’Esprit. L’Occidental, tournant le dos au
soleil
, en lequel il croit sans le voir, décide d’imiter Dieu le Créateur en
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faute de tradition, s’impose par la Terreur : le
Soleil
invaincu de Dioclétien annonce la swastika d’Hitler, comme la Déesse
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» d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier défi au
Soleil
disparu derrière l’horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le cri d
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, cet enfoncement de taupe dans une galerie où le
Soleil
ne parvient plus — et l’on finit par l’oublier ou le nier — peut-être
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sures : ainsi le fait que l’âge de la Terre et du
Soleil
(3-4 milliards d’années) apparaît supérieur à l’âge de l’Univers, que
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ces « lois », on espère bien que les saisons, le
soleil
et la pluie, les puissances fécondantes, vont continuer à « jouer le
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baignait pas physiquement. Le goût de s’étaler au
soleil
sur les plages est contemporain de l’auto. La technique naissante a c
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t ; la Grande Déesse, Isis et Sérapis, Mithra, le
Soleil
invaincu. Puis l’Occident chrétien renversa le courant. Il se fit mis