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n voyait le golfe violacé écumer sous la masse du
soleil
. Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et
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entre les sapins noirs, la rumeur du rivage et du
soleil
derrière nous décroissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une o
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n s’élance au galop dans les flots. Un formidable
soleil
fait resplendir les dunes éblouissantes, autour du « Haff3 » coloré d
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ui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de
soleil
à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en des jeux inf
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. Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le
soleil
et nous entoure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs d
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par à-coups. Marcher au long des trottoirs que le
soleil
lave à grande eau. Le commerce du monde mène plus loin qu’il n’y para
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, le tombeau du prophète Gül Baba. Puis, comme le
soleil
se couchait, nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes
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sent les paroles. Je vois des chevauchées sous le
soleil
, des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre e
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, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de
soleil
couchant. J’y suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans dout
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uris qui trempent. Tout est familier, paisible au
soleil
. Il passait des heures devant cette fenêtre, à marmotter. Trente-sept
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de s’étirer alors et de considérer les flaques de
soleil
sur la table. Je somnole dans une méditation à la fois distraite et n
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(Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud
soleil
pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commen
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sons basses, des champs pauvres, des landes où le
soleil
qui reparaît fait briller des pyramides de sel. Au loin, parmi les la
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assés à Paris non sans fièvre et cette arrivée au
soleil
dans une liberté naïve et nue, pauvre et joyeuse… Mais je sens bien q
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e saison abstraite, on n’atteint presque rien. Le
soleil
froid à travers une brume lointaine agrandit les regards sans nourrir
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aisemblable ; et non plus moi. Premières roses au
soleil
, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls. Il y a u
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res pour rapporter de quoi déjeuner, des coups de
soleil
, et ces visions éclatantes de la côte, ce flamboiement de l’imaginati
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ent, peut-être même haïssent la couleur verte, le
soleil
, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatisme. J’observ
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d’une baie qui donne sur « les flots », en plein
soleil
. Un peu étourdi. Souvenirs d’une plage de la Baltique ; d’un bar des
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Matinée d’hiver au Midi. Et voici par la grâce du
soleil
de janvier qu’un mot devient le plus beau de la langue : matinée. Tou
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t simple moyen… 3-4 mars 1935 Deux jours au
soleil
, à Cassis. Le village vit tout doucement, d’une vie enfantine. Point
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mard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand
soleil
. Et les bonnes femmes disaient, au seuil du temple : « Voyez-vous ça,
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traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau
soleil
luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chie
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, reposent les mâles repus, pesamment allongés au
soleil
. J’en compte huit, de toutes tailles et pelages. La plupart sont beau
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5 Arrivée à Paris. — Après la Beauce au grand
soleil
, pendant des heures, après Versailles, voici la rencontre émouvante d
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plein midi du grand corps de la France étirée au
soleil
. Tous les problèmes vont se poser autrement. Tout est soudain plus du
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ûtes, et chacun s’y sent seul, tournant le dos au
soleil
toujours absent de l’imagerie des cauchemars. Pour bien comprendre le
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Je l’ai senti le premier soir d’octobre, quand le
soleil
couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel de cette couleur orang
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ace, double le ciel, qui règne seul au coucher du
soleil
. À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues profondes
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baryton viennois de l’Opéra de New York, bains de
soleil
dans un parterre de jeunes déesses américaines, danse aux salons et f
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pantoufles. Tel est pris et l’autre laissé. Et le
soleil
qui se couche ici, au même instant se lève ailleurs. C’est le même so
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, au même instant se lève ailleurs. C’est le même
soleil
. Je pense que si j’étais en prison cette nuit, je n’aurais aucun repr
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ous importés. Traversée de l’île en auto, sous un
soleil
qui attaquait en piqué. Pendant un kilomètre, il pleut des cordes, et
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cirque immense des collines, piquées de villas au
soleil
, par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’herbe d’un marais,
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iné, devant la lagune de Maïpo, jusqu’à ce que le
soleil
couchant ait flambé les plumets des roseaux. C’est un marécage infini
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ts des grises étendues. Dans les brumes dorées le
soleil
s’enlisa, tandis que s’apaisait la rumeur primitive, au ras des prair
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’après-midi, voici le soir, nous volons contre le
soleil
et le temps coule deux fois plus vite. La stratosphère se dore. Des c