1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
1 ups. Je vais marcher au long des trottoirs que le soleil lave à grande eau, et me laisser aller un peu à mes idées. Le commerc
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 , le tombeau du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait, nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes
3 sent les paroles. Je vois des chevauchées sous le soleil , des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre e
4 , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans dout
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
5 n voyait le golfe violacé écumer sous la masse du soleil . Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et
6 entre les sapins noirs, la rumeur du rivage et du soleil derrière nous décroissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une o
7 n s’élance au galop dans les flots. Un formidable soleil fait resplendir les dunes éblouissantes, autour du « Haff »11 coloré
8 ui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en des jeux inf
9 . Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entoure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs d
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
10 uris qui trempent. Tout est familier, paisible au soleil . Il passait des heures devant cette fenêtre, à marmotter. Trente-sept
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
11 de s’étirer alors et de considérer les flaques de soleil sur la table. Je somnole dans une méditation à la fois distraite et n
12 (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commen
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
13 ’après-midi, voici le soir, nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite. La stratosphère se dore. Des c
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
14 ir, elle est encore d’une présence envoûtante. Le soleil s’est caché derrière le Trou de Bourgogne. La grande rougeur du lac s