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téristique par ses dépressions autant que par ses
sommets
. Dépressions : la musique, la poésie et la métaphysique. Coteaux modé
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sique. Coteaux modérés : la peinture et le roman.
Sommets
: la philosophie politique et historique, la théologie, la psychologi
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l monte sur la montagne… Alors, cette ivresse des
sommets
. L’intuition de la grandeur. Et plus d’obstacle devant la pensée. Le
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raide, et l’avance très lente, mais l’attrait du
sommet
qu’on distinguait derrière des épaulements sans cesse renaissants pro
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horaire de dix minutes, dans le vent violent des
sommets
. Déjà la route parcourue s’effaçait derrière nous sous une brume d’un
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dans l’irréel. Le paysage s’éteignait. Un dernier
sommet
rose feu disparut derrière un talus, puis le talus devint la nuit, et
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e paix marécageuse. Le mystique, aux approches du
sommet
de l’ascension graduelle vers l’Être, fait l’expérience du Néant… Dan
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ion récente, deuxièmement qu’elles ont dépassé le
sommet
de leur évolution, et descendent vers leur crépuscule. Dès la fin du
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sse dans toute l’Europe germanique et latine : du
sommet
du Gothard, écrivait le chevalier de Boufflers, « l’on peut cracher d