1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 rdi, d’un Hallaj, ait été le martyre religieux au sommet de la joy d’amour : Al-Hallaj se rendait au supplice en riant. Je lu
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
2 at de sentiment, mènerait à une union suprême, au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il. Il unit bien à u
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
3 orizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces élancements. Le moi n’est jamais transcendé, il se refuse à l’
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
4 aces fortes — alors vient la grande bataille : du sommet de quelque coteau, où lui apparaît tout le terrain du combat, tout l’
5 ise les problèmes personnels, à l’extérieur et au sommet le potentiel de passion s’accroît de jour en jour. L’eugénisme triomp
6 ions supprimées à la base viennent s’accumuler au sommet . Or il est clair que ces volontés de puissance affrontées — il y a dé
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
7 de la passion, tel que l’a décrit Kierkegaard. Au sommet de l’ascension spirituelle qu’il nous raconte dans le langage de la p