1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 me les Bestiaires, et me tirant hors de ce « long songe de violence et de volupté », je me sens envahi par un rythme impérieu
2 rchestration de thèmes qui faisait la richesse du Songe , mais d’une ligne plus ferme, d’une unité plus pure aussi. Le sujet é
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
3 vie des hommes pour demain, et il était beau d’y songer un peu avant de nous abandonner à l’oubli luxueux des rues. Le long d
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 loin qu’on ne croit, mais il a toujours l’air de songer à la Hollande, sa seconde patrie si la peinture est sa première et Ne
5 ulé « nature morte ». Pourquoi pas naissance d’un songe  ? C’est en effet un rêve de précision qui s’incarne dans ces motifs g
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 ’idéologie socialiste, gros farceur, va. Quand je songe à tous ces gens qui perdent leur vie à la gagner9, et leur façon inex
7 ). Je n’ai jamais revu l’étranger. Quelquefois je songe à ses paroles — ou peut-être n’étaient-ce que celles de mes folies ?
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 our du centre de la ville une insécurité qui fait songer à la Russie et au sifflement des balles perdues d’une révolution. Sep
9 conquête revint s’asseoir auprès de nous. Gérard songeait , muet, et n’en buvait pas moins. « Pourquoi vous ne dites rien ? » fi