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acrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on
songe
qu’il se traduisait, dans les sociétés primitives, non par cette répu
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ourrait occuper parmi les barons de son oncle. Il
songe
aussi à son amie, — pour la première fois semble-t-il ! Il songe que
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on amie, — pour la première fois semble-t-il ! Il
songe
que dans cette aventure, elle pourrait être « en beles chambres… port
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de attestée par le récitatif du psaume ». Et l’on
songe
au secret de Tristan, qu’il ne peut « dire » mais seulement chanter…
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dame ? » — voilà qui nous donne à penser si l’on
songe
à tous les troubadours qui devaient subir un apparent « mariage » ave
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u nombre d’objections qu’elles soulèveront. Je ne
songe
pas à esquiver des critiques que j’espère fécondes. Mais le lecteur m
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gné, le Probateur, le Bien connu : comment ne pas
songer
au Roman de la Rose ? Et le symbolisme chevaleresque se retrouve dans
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s choses créées. Vraiment, comment se défendre de
songer
ici aux « déserts » de la Nuit obscure que décrit saint Jean de la Cr
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u langage, et spécialement de la métaphore. Je ne
songe
pas à nier cet aspect du problème, il sera traité en son lieu. Mais j
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presque rien de Shakespeare, — mais nous avons le
Songe
d’une Nuit d’été. Et l’on dit qu’il était catholique — mais nous avon
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t le succès même de l’effort littéraire ? Si l’on
songe
au mythe primitif, dont l’Astrée reprend tous les thèmes, l’on est fr
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sentiment que l’on idéalise, c’est l’instinct. Je
songe
aux romanciers anglo-américains, un Lawrence, un Caldwell, un Faulkne
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ile pour s’inventer de plus secrets obstacles. Je
songe
à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos analyses : jalousie
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ellent. 3.Le mariage comme décision Si l’on
songe
à ce que signifie le choix d’une femme pour toute la vie, l’on en vie
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omme Isaac fut rendu à Abraham. Mais alors il n’y
songeait
pas ! Et il se peut aussi que rien ne compense la perte : nous sommes