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sière suffit à révéler dans tout le continent une
sorte
de clivage et un double tropisme. Les masses industrielles, dans leur
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rt, il déclare souveraine la nation unifiée de la
sorte
, qui se conduit alors vis-à-vis de l’Europe comme un groupe absolutis
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une. Dans cette vue, la Suisse moderne serait une
sorte
de « bon exemple » à suivre. Rien de plus banal que cette référence à
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ie de cette pratique, et qui la transforme en une
sorte
de programme, ou de manifeste vivant. Par la force des choses, l’unio
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e continent, de tout y mélanger, et d’obtenir une
sorte
de nation européenne où Latins et Germains, Slaves et Anglo-Saxons, S
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composer lentement, un peu partout, et de toutes
sortes
de manières. Ici, c’est une entente économique, là c’est une parenté
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chent de respirer, menacée à chaque instant d’une
sorte
d’hémiplégie, soit que la gauche réussisse à paralyser la droite, ou
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ux se limitent à un domaine trop étroit, de telle
sorte
qu’il n’existe pratiquement aucune institution européenne capable d’a