1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 amment piquer par poux et puces, dispensant de la sorte son maître d’avoir à tuer ces insectes. (Anecdote citée par R. Kassne
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
2 l est comme une invocation à un dieu nouveau, une sorte de Gott mit uns aussitôt exaucé, puisque par ce seul cri la bataille
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
3 ition calculées dans l’abstrait47, mais par cette sorte de fascination qu’exerce sur l’avenir encore intact, foisonnant d’imp
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
4 ’idée de matérialité, l’atome se résolvait en une sorte de vide animé d’on ne savait trop quoi, sauf que « cela » restait cal
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
5 tre les élites et l’action ; elle contribue de la sorte à entretenir la « crise » qui est le thème préféré de nos meilleurs e
6 tion naissante permettent à l’homme de mettre une sorte de distance entre la Nature et sa vie — cette distance est le « milie
7 es produits, comme la Bombe, dès lors douée d’une sorte d’intrinsèque capacité de nuire à l’homme. Retour à la magie77. Cette
8 up d’esprits légers s’imaginent l’homme comme une sorte de ballon qui ne demande qu’à « s’élever » dès qu’il est délivré des
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
9 nos futures réalités, et représentaient ainsi une sorte de mémoire anticipée des choses à venir ; comme si l’homme était en p