1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
1 millénaire avant notre ère, il semble bien qu’une sorte de civilisation commune se soit étendue à la majeure partie du contin
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
2 divertissaient à chercher chacune telle ou telle sorte de fleur ; l’une prenait le narcisse odorant, une autre l’hyacinthe,
3 lignes le récit primitif : il l’introduira de la sorte , grâce au succès durable de ses Étymologies, dans les écoles du Moyen
4 Ronsard, André Chénier, Victor Hugo, en font une sorte d’exercice de description, dans le style de l’Idylle antique. Citons
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
5 ncore (p. 38, op. cit.) Valéry nomme l’Europe une sorte de cap du vieux continent, un appendice occidental de l’Asie. Cela fi
6 pant les contrées intermédiaires, réunit ces deux sortes de caractères, elle est brave et intelligente. Aussi demeure-t-elle l
7 t sous le continent. Elle est abondante en toutes sortes de biens, et les peuples y sont ordinairement doux, honnêtes, civilis