1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 ourd’hui en vient à transformer l’Histoire en une sorte de divinité ou Devenir fatal, dont seuls les dictateurs (ou les chefs
2 n, et je suis bien certain qu’il révélerait de la sorte la nécessité de l’union, et même les formes spécifiques quelle devrai
3 gt auteurs confirment, pourrait être résumé de la sorte  : on pousse le respect de l’individualité enfantine jusqu’au refus de
4 ricain, lui aussi, livre finalement l’élève à une sorte de conditionnement social, non dirigé bien sûr, capricieux comme la m
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
5 rait celui d’une autarcie presque totale ou d’une sorte d’isolation paranoïaque. En fait, les États-Unis, quoique de loin les
6 ues, mais également valables et vitales, de telle sorte que la solution ne puisse être cherchée ni dans la réduction de l’un
7 société. Mais la révolte actuelle des étudiants, sorte de tourbillon dans l’égarement, est aussi le contrecoup mécanique de
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
8 puissance industrielle et militaire massive d’une sorte de Troisième Grand préoccupé principalement de tenir tête aux deux au
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
9 eulement invétérées jusqu’à se confondre avec une sorte d’instinct acquis, non seulement chargées d’histoire (oubliée, refoul