1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 e nos enfances. Ce soir des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’ora
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
2 tre cette plainte heureuse des violons. Le diable sort des parois, noir et blanc, la ravissante héroïne est à son piano, c’e
3 arapace de principes et d’évidences opaques. Nous sortîmes de l’Opéra, Gérard de Nerval et moi, sans nous être rien dit d’autre,
4 embrassa paternellement la belle effarée, et nous sortîmes , non sans avoir délivré le homard qui, laissé au vestiaire, y était l
5 en une heure, en un lieu, en une vision. »   Nous sortîmes . Seules des trompes d’autos s’appelaient dans la nuit froide. Gérard
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 nue. Dans le silence de l’adoration comblée, j’en sortirais de ces objets sans nom, inutilisables, bouleversants de perfection, g
7 devenir notre raison de vivre. Mais combien votre sort , ô grands empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez c
8 , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons j
9 êlées. xviii Les clefs perdues Il faudrait sortir à l’air frais, mais chaque porte est obstruée par un douanier, tant q
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 t peu nombreux, mais sait-on bien d’où il peut en sortir encore — sans compter les fantômes, probables ? Le père Reinecke, un
11 de nouveau. Mythes de l’ombre et des frontières, sortis de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de
12 ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai jusqu’au signal, voir le pays sous l
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
13 elle des vieilles boiseries. Enveloppé de gaze je sors sur mon balcon, je me penche sur le parc incertain. Palpitation loint