1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 ement objectif vis-à-vis de sa propre nation ? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui sera donnée en fait à ce p
2 st une vieille expression. Oui, de tout temps, le sort du monde a été quasiment désespéré. Seulement, maintenant, cela se sa
3 ce qui compte, en fin de compte, ce n’est pas le sort matériel et le bonheur plus ou moins grand de la cité, mais les raiso
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
4 ardt. En 1871, il écrit à l’un de ses amis : « Le sort des ouvriers sera le plus étrange… L’État militaire va devenir le gra
3 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
5 il est objecteur de conscience. (C’est P. C., qui sort de chez moi.) ⁂ À propos d’un récent discours où Hitler assurait le p
6 ers personnels, je les ai mis en lieu sûr et j’ai sorti mes uniformes pour les aérer. Secundo, j’ai envoyé à un certain nombr
7 s sont entrés dans Paris. — Merci. Repos ! Il est sorti , me voyant incapable de rien dire de plus. Je suis resté immobile un
8 ’à six heures moins deux minutes. Je me prépare à sortir . Sonnerie du téléphone. On va me parler de l’E.-M. du Général. C’est
9 lexion sentimentale sur son propre cas, et sur le sort des nations. Il ne reste que la préoccupation des petites choses préc
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
10 crois avoir entendu dans le ronron nasillard qui sortait de la petite chambre : « Cent-soixante-cinq avions allemands ont été
11 ’est fini. Le monde s’ouvre et s’éclaire comme au sortir d’un cauchemar. Mais c’est aussi comme un premier réveil désorienté d
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
12 Vous dites merci, l’autre est déjà parti, et vous sortez sans qu’on vous demande un cent. 13 novembre 1940 Conférences
13 avec une politesse égale des deux côtés, et vous sortez angoissé et honteux à la pensée d’avoir jamais écrit, de vous être ja
14 Seul à la maison depuis deux jours. Je n’en suis sorti que pour racler et déblayer la neige accumulée sur le trottoir et dan
6 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
15 ous ? Le directeur va vers son coffre-fort. Il en sort un objet qu’il jette sur le bureau. C’est une sorte de vis énorme à t
16  » d’Argentine, je suis libéré bon dernier, et je sors du bateau par une petite passerelle de service, la grande ayant été r
7 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
17 fétéria du coin. 2 mars 1942 Ou écrire, ou sortir . — Après trois jours et nuits de travail acharné, j’ai tenté hier soi
18 oute la nuit. Voilà qui est clair : ou écrire, ou sortir . 4 mars 1942 À Town Hall, Wanda Landowska jouait cet après-midi
19 oute la nuit et l’émotion me fait dormir. Je suis sorti pénétré d’une ivresse dont j’imagine qu’elle est l’état normal des an
20 e torrentielle et fonte des neiges. Les nonnes ne sortent plus, ou sont peut-être tombées dans la cour. Des gouttes chargées de
21 de la nuit. Pierre Lazareff, en bras de chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’oreille et le front maculé d’encre
22 , les feuillette rapidement, comme sans regarder, sort une page d’un petit geste nerveux : « Voilà ce que vous cherchiez, mo
23 chement sous le bras une longue boîte noire, d’où sort un très jeune chien tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal.
24 s les prétextes que les hommes se donnent pour en sortir , un jour ou l’autre, me paraissent hypocrites ou faciles à réduire. «
25 le hall. Maintenant, on ne saurait plus le faire sortir de Bevin House. Il s’est remis à écrire un conte d’enfants qu’il illu
8 1946, Journal des deux mondes. Intermède
26 ce soit, il y en a toujours trop. Cependant notre sort vous paraissait enviable, à juste titre. Les pires tourments de l’esp
9 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
27 ut peut arriver, même le pire. Il pressent que le sort , l’État, la science, le monde moderne et sa prospérité ne sont pas le
28 travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors . Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres bl
29 e platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fait trop chaud. Des rires vie
30 ormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de chambre, un vieux monsieur, pour arroser au tuyau ses arbu
10 1946, Journal des deux mondes. Virginie
31 ’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens sortent , le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux de cire
11 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
32 w York depuis la guerre ou depuis 1933. Nous n’en sortirons donc jamais par ce biais-là. Abandonnons toute prétention à l’objecti
33 mme chez les primitifs une manière de conjurer le sort , et de se rendre l’an nouveau propice ? Plus que dix jours pour s’ass
12 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
34 enter de répondre : c’est plutôt vous qui devriez sortir , sous peine de ne pas comprendre la réalité mondiale. Après tout, il
35 dieu… Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, je vais la voir… Tout d’abord je n’ai distingué qu’un
36 ans la rue. Semelles de bois. Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté du portail d’un ministère
37 ux pantalons étroits, aux longs souliers pointus, sort d’un xixe siècle d’illustrés de mon enfance. Des jeunes gens en chan
13 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
38 in n’a pas cessé d’être lié au sien : car le même sort paradoxal a décrété que nous fussions au centre du conflit tout en re
39 llait de soi. Voilà qui éclate aux yeux dès qu’on sort de l’île Suisse et qu’on navigue en pleine débâcle printanière des va