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cela qu’un intellectuel d’aujourd’hui se doit de
sortir
de sa chambre, quelle que soit par ailleurs l’utilité de sa démarche.
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la qu’on leur offre un programme, des moyens d’en
sortir
, une nouvelle direction d’activité. Vont-ils se tourner vers les sage
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xiste-t-il pour l’intellectuel une possibilité de
sortir
de sa chambre ? Car il y dépérit, — et sa sécurité n’est plus, nous l
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montre avec le conte fameux : l’homme ne peut pas
sortir
du puits en se tirant par les cheveux. Il faut que du dehors un bras
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lier les raisons qui m’empêchent honnêtement d’en
sortir
. Une équivoque définie comme telle cesse d’ailleurs d’être trompeuse.
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aussi qu’elles servent à distraire l’homme de son
sort
personnel. Dans ce sens, toutes les politiques ne sont que politique
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s sont pareils et qu’un homme n’a pas le droit de
sortir
dans la rue coiffé d’un chapeau de paille avant la date fixée par les
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t un ensemble de déterminismes, aucune liberté ne
sortira
jamais de son effort, ni aucun esprit. À moins qu’un Dieu transcendan
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aisie et vécue, c’est-à-dire assumée par l’homme.
Sortir
du paradoxe pour s’évader dans une synthèse quelconque, rationaliste,
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conque, rationaliste, romaine, ou marxiste, c’est
sortir
de la réalité même. Car la réalité est précisément ce qui nous met en
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uences de sa foi que de s’occuper sérieusement du
sort
de la cité où s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, e
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niste prend au tragique « jusqu’à la gauche » son
sort
terrestre. C’est que le salut, pour lui, est lié au succès de son eff
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orizontal. Le sens de la vie du chrétien c’est de
sortir
de sa vie individuelle pour s’ordonner au transcendant dès ici-bas. C
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encore qu’il consiste précisément dans l’acte de
sortir
de ce monde pour le transformer ? Cette dialectique inconcevable de l
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hommes. Il y a deux camps : ceux qui veulent en
sortir
, — et ceux qui voudraient bien continuer, ayant certains intérêts dan
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choses qui viennent à grands pas assurés, et qui
sortent
, dit-on, « fatalement » de nos ombres ? Je vois naître dans un lent c
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point un « homme nouveau » que la révolution fait
sortir
de nos ombres, c’est un homme délivré, dénudé. Délivré d’un régime qu
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rres ultérieures, dont nous ne sommes pas près de
sortir
! (1946.) 62. Un seul homme convaincu, Charles de Gaulle, a été « l’
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tes » ? Nous nous adressons à ceux qui veulent en
sortir
, et non pas aux syndics de faillites, ni aux faillis qui se réjouisse
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e. Mais si vous n’aimez pas ça, si vous voulez en
sortir
, réfléchissez, examinez notre doctrine. Et ne vous contentez pas de t
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uer à la forme de pensée d’où vont nécessairement
sortir
le fascisme et le stalinisme. Et c’est la pensée libérale. Voyez donc
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éveiller la volonté de la réaliser et de la faire
sortir
de l’utopie. Il fallut qu’un fait historique, qu’un acte vînt transfo
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huguenot, de ces hommes qui ne sont en fait que «
sortis
» du protestantisme… Certes, nous pouvons nous réjouir de ce que la