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e que soit « l’utilité » de mon entreprise, notre
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n’en demeure pas moins, à nous autres Occidentaux, de devenir de plus
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n des « hasards », bien des malices opportunes du
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qui s’opposent au bonheur des amants. Mais comment l’expliquer lui-mê
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aire au terme d’une série d’épreuves dont Tristan
sortira
purifié ; vers une mort qui soit une transfiguration, et non pas un h
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plus en plus inquiète, lorsque le fils apprit le
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de la mère… Quand mon père m’engendra et mourut, quand ma mère me don
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chanson du marinier, du haut du mât, prédit leur
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inévitable : Vers l’Occident erre le regard ; vers l’Orient file le n
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est au ciel, et toi tu es sur la terre. » Et ton
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se joue ici-bas. Le péché n’est pas d’être né, mais d’avoir perdu Die
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les trois autres, mais il lui est difficile d’en
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, il vit dans la joie, celui qui peut y rester. On y accède par quatre
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ir une rivière : or c’était Tristan déguisé. Elle
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intacte de l’épreuve. Gottfried commente : « Ce fut ainsi chose manif
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que possibles : inévitables. Nous n’en sommes pas
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au xxe siècle, sinon ce livre n’aurait plus d’objet. Mais on peut po
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uloir propre. Le « combat » d’amour, dont il faut
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vaincu. Le symbolisme des « châteaux », havres de l’amour. Le symboli
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rnel, Secouer l’influence des étoiles funestes Et
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de cette chair lasse du monde. Mes yeux regardez une dernière fois !
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de l’artillerie. « Et n’est-ce pas une ironie du
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qui fit que cette fleur des chevaliers errants à la mode de Bourgogne
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e soldat considéré comme un héros qui décidera du
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d’une guerre, mais bien le cœur collectif, si l’on ose dire, la puiss
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iltre, et j’en vois moins encore être élus par le
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pour succomber au tourment exemplaire. Mais tous ou presque tous en r
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l’Éternel. Car après tout c’est ici-bas que notre
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se joue. C’est sur la terre qu’il faut aimer. Au-delà, il n’y aura pa
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fidélité. Quoi qu’il arrive, heur ou malheur, le
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du monde nous importe bien moins que la connaissance de nos devoirs p