1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 rien de bouddhique, enseigne que la mort étant le sort commun, tuer n’est vraiment grave qu’aux yeux de l’ignorance. Qu’on d
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
2 qui fait leur destinée et qui compense d’abord un sort inaccepté. Il est né comme une aventure, d’un fait très insolite et p
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
3 e sacré différencie quelques fonctions. Celui qui sort du clan s’éloigne des tombeaux et perd la protection de ses morts red
4 ngers, il doit les supposer universels, garant du sort de tous les hommes qui leur rendent le culte civique. Dès lors, les «
5 tre plus que par sa naissance, et l’on ne peut en sortir que par sa mort. Ouvriers et paysans sont marqués au fer rouge, et ri
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
6 ujours gardé. Et quant à ceux qui ont décidé de «  sortir du monde » et de se remettre à tisser leurs vêtements, etc., il n’est
7 tre à tisser leurs vêtements, etc., il n’est rien sorti de durable de leurs petites communautés de retraite. Cependant, l’att
8 me n’était poussé que par l’envie d’améliorer son sort ou d’amasser plus de nourriture et de richesses : cette théorie « éco
9 l’Occident prenait une conscience plus exacte du sort des grandes masses asiatiques, à la fois sous-alimentées et en croiss
10 l’essentiel de nos jours, et dont dépendait notre sort  : salaire, nourriture et logement. Si la technique, demain — comme el