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ays de l’Axe autant que dans notre camp. Et de là
sortiront
les chefs de file des futurs mouvements fédéralistes, ces hommes venu
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e nos enfances. Ce soir des Signes où des renards
sortirent
à la lisière de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’ora
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elle des vieilles boiseries. Enveloppé de gaze je
sors
sur mon balcon, je me penche sur le parc incertain. Palpitation loint
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nue. Dans le silence de l’adoration comblée, j’en
sortirais
de ces objets sans nom, inutilisables, bouleversants de perfection, g
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devenir notre raison de vivre. Mais combien votre
sort
, ô grands empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez c
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, dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous
sortons
ensemble de la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons j
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ement mêlées. Les clefs perdues Il faudrait
sortir
à l’air frais, mais chaque porte est obstruée par un douanier, tant q
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t peu nombreux, mais sait-on bien d’où il peut en
sortir
encore — sans compter les fantômes, probables ? Le père Reinecke, un
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de nouveau. Mythes de l’ombre et des frontières,
sortis
de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de
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ouvre comme un jardin aux allées aventureuses. Je
sortirai
dans les rues vides, je monterai jusqu’au Signal, voir le pays sous l
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hôtel minable, près de l’Odéon — d’où parfois je
sortais
la nuit en habit et chapeau claque pour aller à quelque « bal blanc »
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ces-cuisine de banlieue neuve. ⁂ Au moment où le
sort
veut que je corrige les épreuves du Paysan du Danube (qui paraît à
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s hommes. Il y a deux camps : ceux qui veulent en
sortir
, — et ceux qui voudraient bien continuer, ayant certains intérêts dan
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t qu’on nous l’a prêté, il faut le soigner…) Nous
sortons
du port, et tout de suite la mer est forte. Un éclair sur l’eau verte
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en silence, le nez sur leurs sabots, que je sois
sorti
. La mère Aujard n’a pas toujours ce qu’on voudrait. En hiver elle fai
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d’aller réfléchir le long des plages. Quand nous
sortons
de notre enclos, nous avons trois promenades au choix : elles conduis
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entiment de liberté, de gratuité aventureuse. Mon
sort
ne dépend plus de ce que je puis faire ou imaginer : libération. Il f
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i les hommes vivent-ils sur des îles ? Quand nous
sortons
pour une promenade et que nous mesurons toute l’étroitesse de notre d
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a… » Je vais me présenter au conférencier et nous
sortons
ensemble. Dans la rue noire, un homme nous rejoint : c’est celui qui
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—, de se refuser systématiquement à envisager le
sort
d’environ 30 millions de contemporains. D’autant plus que des partis
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mon sur la mort, 22 mars 1662.) Que dire alors du
sort
fait à celui qui doit se montrer aux hommes tel qu’il est ? S’entendr
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nsi je me renouvelle lentement. C’est un moyen de
sortir
de l’impasse : non pas en changeant ses données, mais soi-même. Fi
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ullulent dans la cour. La mère Renaud-de-la-Purée
sort
de sa porte, appuyée sur un court bâton. C’est donc la jambe qui ne v
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travers le toit fragile, jour et nuit. Quand nous
sortons
pour aller voir la côte bouleversée, il nous faut marcher pliés en av
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nnaître en tant que notre action peut modifier le
sort
de ses victimes, dont nous sommes. Je vois alors une littérature de t
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serre entre ses pattes un œuf à demi ouvert, d’où
sort
un long cou maigre, tout humide. Un poulet gris, déjà séché, palpite
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mouvements, ramène deux œufs sous son aile, fait
sortir
une coque vide, et reprend, l’œil fixe, son travail invisible de mère
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première explosion de mauvaise humeur contre « le
sort
» depuis sept à huit mois que nous sommes dans l’île. Je n’étais pas
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voix dans la salle de la caisse. Le client est-il
sorti
? Quel peut bien être le motif de cette audience privée ? Enfin, j’en
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de cette audience privée ? Enfin, j’entends qu’on
sort
, et le gérant vient me chercher. Notre affaire réglée, il croit devoi
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; qu’il pourrait être utile de montrer qu’on peut
sortir
des villes où se font les « carrières » sans sortir de la vie véritab
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rtir des villes où se font les « carrières » sans
sortir
de la vie véritable ; et qu’on peut vivre de très peu sans cesser de
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érieuse, cette façon de ne pas se plaindre de son
sort
… Pourtant, il en est peu de cette espèce, semble-t-il. On n’en parle
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uve fausse dans tous les cas concrets, dès que je
sors
des très grandes villes et de leur caricature de société — Simard, le
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irer son linge toutes les deux heures. Quand elle
sortait
sa main du lit, cela fumait. — « Vous avez eu de la fièvre ! » — Elle
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ce de culture raffinée. (D’après nature : la dame
sort
d’ici. Les reproductions de la Sixtine sont épinglées au-dessus de ma
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bien pauvres…) Quand nous nous sommes levés pour
sortir
, le facteur ronflait, le front sur un dossier de chaise. Il s’est rel
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aise. Il s’est relevé, s’est frotté les yeux, est
sorti
tout tranquillement. J’ai parlé avec plusieurs jeunes gens. Quelles o
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e dire ; mais eux… 22 décembre 1934 Nous ne
sortons
plus guère qu’à la tombée de la nuit, pour la descente quotidienne au
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oser. Nous serions parfaitement contents de notre
sort
, loin des villes, pour tout ce qui est de notre vie privée, de nos tr
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oit contraint de vivre par suite d’un accident du
sort
, ont toutes les chances d’apparaître deux fois insupportables : comme
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raison. Mais je la tiens pour néfaste quand elle
sort
du domaine personnel et déborde dans la politique. On devine peut-êtr
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journal, c’est qu’on peut être très content d’un
sort
matériel très médiocre. Ce n’est pas nouveau. Et il faut bien reconna
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us on la lit… » Ce généreux apôtre de la cause va
sortir
, lorsque le vieux gâteux l’arrête sur le seuil. « Et alors, mon bon,
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ien de ses lecteurs ? Si l’on prend au sérieux le
sort
qui est fait aux ouvriers — ce n’est pas le cas des intellectuels qui
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té.) 2 mai 1935 Politique et réalité. — Je
sors
d’une réunion populaire qui s’est tenue dans la salle désaffectée d’u
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rtient à des équipes d’hommes nouveaux, jeunes et
sortis
de toutes les classes, d’exprimer ce que taisent les journaux, les or
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été chercher le pasteur. Je le rencontre comme il
sort
de sa visite. « Elle est curieuse, cette vieille, me dit-il. Figurez-
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aliste, disaient-ils ; mais dès qu’ils en étaient
sortis
, ils découvraient que c’était la société en général qui les vexait. P
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oisson, de tabac, légumes défraîchis. D’une allée
sort
un homme en espadrilles. Il porte un broc et va le remplir au bord de
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urbaines. S’ils ne deviennent pas fous, s’ils ne
sortent
pas de leurs boîtes comme des guignols vociférants, comme des bourgeo
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oi aussi, mais on juge tout de même là-dessus… Je
sors
, je pense à autre chose, à quelque chose qui n’est pas d’ici. Et déjà
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rsqu’un groupe de jeunes gens et de jeunes femmes
sortit
à vingt pas de moi d’une porte cochère, avec une espèce d’éclat de ri
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le médecin qui ausculte en silence et déjà votre
sort
lui est connu. Je conçois un métro silencieux, plus rapide, mais par
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s, mais en paria, aux yeux de sa nation. Comme je
sortais
, vivement impressionné par le courage sérieux (sans nul défi) que sup
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sse. Les plus jeunes ont l’air moins ouverts. Ils
sortent
du camp de travail. Le professeur ne leur inspire plus ce respect dû
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us voulions empêcher notre fils, qui a 15 ans, de
sortir
un soir qu’il est un peu malade, par exemple, nous risquerions une ma
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lant un air martial chaque fois que quelqu’un est
sorti
, pour vérifier si la porte a été refermée à clef. Hier soir, il m’ava
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mer un abîme entre la jeunesse hitlérienne qui va
sortir
des camps de travail, et la jeunesse des démocraties. Laquelle des de
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pités dans l’escalier. Le fils de la propriétaire
sort
de la cave en gesticulant, une bouteille à la main, et remonte quatre
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’un quartier berlinois. Et maintenant, je le vois
sortir
de l’ombre où il était assis au fond de la chaire, poser les deux mai
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telle que nous l’imposerait l’Allemagne, ne peut
sortir
qu’un État totalitaire. Il s’agit donc d’empêcher cette guerre, de se
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e, mes uniformes, mes armes et de la munition. Je
sors
mes tuniques pour les aérer, je nettoie et je graisse mon pistolet. D
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uer à la forme de pensée d’où vont nécessairement
sortir
le fascisme et le stalinisme. Et c’est la pensée libérale. Voyez donc
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ement objectif vis-à-vis de sa propre nation ? Le
sort
de la démocratie dépend de la solution qui sera donnée en fait à ce p
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st une vieille expression. Oui, de tout temps, le
sort
du monde a été quasiment désespéré. Seulement, maintenant, cela se sa
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ce qui compte, en fin de compte, ce n’est pas le
sort
matériel et le bonheur plus ou moins grand de la cité, mais les raiso
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ardt. En 1871, il écrit à l’un de ses amis : « Le
sort
des ouvriers sera le plus étrange… L’État militaire va devenir le gra
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il est objecteur de conscience. (C’est P. C…, qui
sort
de chez moi.) ⁂ À propos d’un récent discours où Hitler assurait le p
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ers personnels, je les ai mis en lieu sûr et j’ai
sorti
mes uniformes pour les aérer. Secundo, j’ai envoyé à un certain nombr
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s sont entrés dans Paris. — Merci. Repos ! Il est
sorti
, me voyant incapable de rien dire de plus. Je suis resté immobile un
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’à six heures moins deux minutes. Je me prépare à
sortir
. Sonnerie du téléphone. On va me parler de l’E.-M. du Général. — C’es
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lexion sentimentale sur son propre cas, et sur le
sort
des nations. Il ne reste que la préoccupation des petites choses préc
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ice. Tout ce que je vous demande, c’est de ne pas
sortir
dans les rues de Berne chaque soir avec une petite femme à chaque bra
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crois avoir entendu dans le ronron nasillard qui
sortait
de la petite chambre : « Cent-soixante-cinq avions allemands ont été
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’est fini. Le monde s’ouvre et s’éclaire comme au
sortir
d’un cauchemar. Mais c’est aussi comme un premier réveil désorienté d
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Vous dites merci, l’autre est déjà parti, et vous
sortez
sans qu’on vous demande un cent. 13 novembre 1940 Conférences.
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avec une politesse égale des deux côtés, et vous
sortez
angoissé et honteux à la pensée d’avoir jamais écrit, de vous être ja
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Seul à la maison depuis deux jours. Je n’en suis
sorti
que pour racler et déblayer la neige accumulée sur le trottoir et dan
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que en particulier, c’est de croire au diable. On
sort
de table et pendant que nous attendons l’ascenseur, je dis : — La dif
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ous ? Le directeur va vers son coffre-fort. Il en
sort
un objet qu’il jette sur le bureau. C’est une sorte de vis énorme à t
82
» d’Argentine, je suis libéré bon dernier, et je
sors
du bateau par une petite passerelle de service, la grande ayant été r
83
e Blanche-Neige. Vers trois heures du matin, nous
sortons
. Toute envie de dormir s’évapore dans l’air trop vif d’une nuit de Ma
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ria du coin. 22 février 1942 Ou écrire, ou
sortir
. — Après trois jours et nuits de travail acharné, j’ai tenté hier soi
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oute la nuit. Voilà qui est clair : ou écrire, ou
sortir
. 26 février 1942 À Town Hall, Wanda Landowska jouait cet après-
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oute la nuit et l’émotion me fait dormir. Je suis
sorti
pénétré d’une ivresse dont j’imagine qu’elle est l’état normal des an
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e torrentielle et fonte des neiges. Les nonnes ne
sortent
plus, ou sont peut-être tombées dans la cour. Des gouttes chargées de
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e , fut une synthèse européenne. Incertain sur le
sort
prochain de mon diable. Plus encore sur le sens et la portée réelle d
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ohuslav Martinu et Milos Safranek (son biographe)
sortent
d’ici. Ils sont venus me proposer de fonder un club de discussion sur
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de la nuit. Pierre Lazareff, en bras de chemise,
sort
de sa cage vitrée, le crayon sur l’oreille et le front maculé d’encre
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, les feuillette rapidement, comme sans regarder,
sort
une page d’un petit geste nerveux : « Voilà ce que vous cherchiez, mo
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chement sous le bras une longue boîte noire, d’où
sort
un très jeune chien tremblant. C’est un boxer qu’il baptise Annibal.
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s les prétextes que les hommes se donnent pour en
sortir
, un jour où l’autre, me paraissent hypocrites ou faciles à réduire. «
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le hall. Maintenant, on ne saurait plus le faire
sortir
de Bevin House. Il s’est remis à écrire un conte d’enfants qu’il illu
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ce soit, il y en a toujours trop. Cependant notre
sort
vous paraissait enviable, à juste titre. Les pires tourments de l’esp
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ut peut arriver, même le pire. Il pressent que le
sort
, l’État, la science, le monde moderne et sa prospérité ne sont pas le
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travail paisible. D’heure en heure, je me lève et
sors
. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres bl
98
e platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire,
sort
de la glace, ôte enfin le peignoir, il fait trop chaud. Des rires vie
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ormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un
sortait
en robe de chambre, un vieux monsieur, pour arroser au tuyau ses arbu
100
is une vilaine et pauvre bête à liquider, dont le
sort
est déjà décidé. Et le reste intéresse surtout nos grands États, nos
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’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens
sortent
, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux de cire
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w York depuis la guerre ou depuis 1933. Nous n’en
sortirons
donc jamais par ce biais-là. Abandonnons toute prétention à l’objecti
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mme chez les primitifs une manière de conjurer le
sort
, et de se rendre l’an nouveau propice ? Plus que dix jours pour s’ass
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enter de répondre : c’est plutôt vous qui devriez
sortir
, sous peine de ne pas comprendre la réalité mondiale. Après tout, il
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dieu… Le jour point derrière les rideaux. Je vais
sortir
sur mon balcon, je vais la voir… Tout d’abord je n’ai distingué qu’un
106
ans la rue. Semelles de bois. Une femme de ménage
sort
ses clés, ouvre une porte de service à côté du portail d’un ministère
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ux pantalons étroits, aux longs souliers pointus,
sort
d’un xixe siècle d’illustrés de mon enfance. Des jeunes gens en chan
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in n’a pas cessé d’être lié au sien : car le même
sort
paradoxal a décrété que nous fussions au centre du conflit tout en re
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llait de soi. Voilà qui éclate aux yeux dès qu’on
sort
de l’île Suisse et qu’on navigue en pleine débâcle printanière des va