1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 tre civilisation à tel point que l’homme, affolé, soudain , doute s’il est encore maître de la redresser. C’est qu’il n’y a plus
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
2 este que par de très petits gestes qui, échappant soudain à des êtres d’ordinaire admirablement corrects et maîtres d’eux-mêmes
3 aiguë, ou bien je m’y ennuie. » Et l’on découvre soudain que cette femme, qui a subi sans les mettre jamais en question les ex
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
4 t les bords de la rivière Yodogawa, il se rappela soudain que c’était un endroit célèbre pour les suicides, et qu’il avait vu u
5 u sujet d’un de leurs camarades, Eiichi se décide soudain à quitter l’Université. Ce passage nous le montre déjà tout entier :
6 etite sœur, à lui-même, et il éclata en sanglots. Soudain , il prit une décision. Il quitterait l’Université pour se plonger dan
7 sultat ». C’est dans un tel état de désespoir que soudain l’amour de la vie revient s’emparer de lui et décide de sa conversion
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
8 ar l’excès même de ces scrupules les fait tourner soudain , les fait cailler en coquetteries. Et voici que l’explication de soi
9 par leur côté vraiment « non-prévenu », et puis, soudain , l’on s’impatiente d’être ramené sans cesse dans un cercle de paradox
10 rrive chez Kierkegaard une chose extraordinaire : soudain c’est lui qui me regarde et qui me perce, — et me fait honte d’oublie
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
11  » qui couvait sous des apparences paisibles, est soudain devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de
6 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
12 anchée, sous les murs du fort de Capocabana, il a soudain la vision d’une Allemagne future renaissant de son calvaire, purifiée