1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 ndait vers la lumière, vers le grand lac doublant soudain le ciel au sortir du treizième tunnel, vers des parcs somptueux et se
2 1948, Suite neuchâteloise. II
2 plus. Tout se passe comme si la mémoire inventait soudain quelque forme que vient emplir le flot de l’émotion, mais n’est-ce pa
3 mine. Mais au carrefour d’autres destins croisés, soudain le rythme change en nous aussi, rompant la prévision, cette inertie.)
3 1948, Suite neuchâteloise. VII
4 poitrine, exalté par l’effort et la vitesse. Mais soudain la tempête a fait silence autour de lui, et seul reste distinct le br
4 1948, Suite neuchâteloise. VIII
5 gros talons cloutés mordre dans le sol élastique. Soudain je suspendis mon pas : au bout de mon pied, dans un creux d’herbe, un