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essemblance est seulement formelle. Le temps dont
souffre
Kierkegaard est engendré par la lâcheté du pécheur, tandis que le tem
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hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience,
souffrent
obscurément de leur séparation. Ils sont ensemble et ils sont seuls.
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nuer la métaphore et dire que la pensée dont nous
souffrons
est une pensée débrayée. Un moteur débrayé n’en ronfle que mieux, d’a
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tout en tous ». Si les églises chrétiennes ont à
souffrir
demain par le fait d’un État tyrannique, il faut qu’elles sachent qu’
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de vue de l’histoire du peuple juif, ce raccourci
souffre
, entre autres, d’une très grave lacune en ce qu’il paraît conclure su
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u en Christ. On ne peut pas le comprendre : on le
souffre
. On l’aime, on l’injurie, on se débat sous son regard, on argumente c
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je sais aussi ce qu’il m’en a coûté, ce que j’ai
souffert
, je puis l’exprimer par cette seule phrase : ‟Je ne fus pas comme les