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es que je vais citer (non sans scrupules, car ils
souffriront
d’être privés de l’éclairage du contexte) me paraissent aujourd’hui c
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ne de jouir de son bien-être pendant que d’autres
souffrent
. Culpabilité irraisonnée de l’homme en bonne santé devant le malade,
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ne de jouir de son bien-être pendant que d’autres
souffrent
. » Ainsi parlait le grand poète Carl Spitteler pendant la Première Gu
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e souhaite nullement rester sain. Et celui qui en
souffre
ne trouve aucun plaisir à en être guéri. o. « L’amour », L’Univer
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e des vents, lumière et chaleur du soleil (qui ne
souffrent
pas la centralisation, c’est pourquoi nos États les décrient et négli