1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
1 nvraisemblable… Mais ce cœur fatigué se reprend à souffrir , il ne sait plus de quels souvenirs ; jusqu’au soir où la douleur net
2 « Orpha ne comprenait pas comment on pouvait tant souffrir et ne plus aimer ». Closain se tue pour finir le livre. Livre charman
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
3 son amour ? son manque d’amour ? Pour Jacques, il souffre d’une incurable adolescence, d’un défaitisme sentimental qui l’empêtr
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
4 avidité cruelle, et peut-être tendre, à se faire souffrir rejette l’un vers l’autre ces êtres égoïstes, et fonde lentement leur
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
5 sens véritable, mais seulement qu’elles ont fait souffrir . Rendez-vous manqués, lettres perdues, aveux incompris, et peut-être,
5 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
6 leur ; ici, c’est l’absence d’amour, par refus de souffrir . Mais chez un être raffiné, la peur d’étreindre aboutit à l’amour de
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
7 t, on entrevoit la famille indignée, une mère qui souffre , un jeune frère qui rêve. Le livre se résout dans une amertume vague.