1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
1 e cesse, jusqu’à sa dernière heure, d’aimer et de souffrir par son amour. C’était là choisir un sujet inévitablement tragique. C
2 its de nos affections ; parce que le sentiment ne souffre pas une ascension continue, mais une fois atteint le moment de sa per
3 ction, ne peut plus que se souvenir, c’est-à-dire souffrir , vieillir. L’amour étant d’essence éternelle, ses manifestations dans
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
4 de la solitude et de la grandeur, les Alpes. Nous souffrons d’une carence inquiétante de l’héroïsme. Dans la lutte pour la vie qu
3 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
5 ? Nous avons trop souvent et bien trop volontiers souffert que l’on nous attribue un moralisme tout semblable à celui des athées
6 pères crurent trouver des appuis, mais dont nous souffrons d’autant plus vivement que le monde actuel nous met en demeure d’aban
7 est pas à eux que j’en ai, mais à ce dont ils ont souffert . 34. Tout ceci appellerait une foule de nuances. Mais il ne s’agit p
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
8 pu être le pendant chrétien du Werther : — « J’ai souffert et me voilà libre à nouveau, écrit Goethe à un ami en 1768, au sortir
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
9 ient peut-être le secret de tout le mal dont nous souffrons . Il suffit, pour le faire apparaître, de poser cette simple question 
6 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
10 olations et encore des consolations pour ceux qui souffrent à cause du Christ. Il suppose, sans autre, que le chrétien souffre po
11 u Christ. Il suppose, sans autre, que le chrétien souffre pour sa doctrine… » Et c’est la tragi-comédie du christianisme de la
12 de la chrétienté. Pauvre chrétien moyen, qu’as-tu souffert pour ta doctrine ? Tu souffres, il est vrai, mais n’est-ce point just
13 en moyen, qu’as-tu souffert pour ta doctrine ? Tu souffres , il est vrai, mais n’est-ce point justement pour ces choses que ta do
14 sans-Dieu de Russie. Mais sais-tu bien de quoi tu souffres  ? De ton péché ou de celui des autres ? Comique amer et infini de ce
15 veau Testament suppose sans autre que le chrétien souffre pour sa doctrine… » (Mais non ! il souffre simplement de ce que tous
16 rétien souffre pour sa doctrine… » (Mais non ! il souffre simplement de ce que tous ne l’ont pas admise) « … et il apporte sa c
17 us fait des sermons, à nous qui n’avons pas voulu souffrir  ». « Dans l’église somptueuse paraît le Très Vénérable et Très Noble
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
18 ur humanité, au sens le plus profond. Ce dont ils souffrent , ce n’est pas seulement de manquer de travail et de ne pas gagner leu
19 es et dégradantes épreuves. Eux, les simples, ils souffrent physiquement. Mais leur drame s’exprime dans la méditation de Pillau,
8 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
20 épugnante qui soit. Oui, je sais bien de quoi il souffre , et contre quelle espèce déprimante de piétistes, arrogants dans leur
9 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
21 est ce que prouvent ces mêmes déclarations. Elles souffrent avant tout d’un manque de ton, qui révèle un manque de nécessité inté
22 lors il y a scandale, et c’est alors que le corps souffre dans son chef et dans ses membres ! La vie normale du corps dépend de
10 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
23 y Tout ne fut pas toujours de notre faute. Ils souffraient de famine quand nous n’étions pas nés. Ils meurent encore de faim, ma