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e cesse, jusqu’à sa dernière heure, d’aimer et de
souffrir
par son amour. C’était là choisir un sujet inévitablement tragique. C
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its de nos affections ; parce que le sentiment ne
souffre
pas une ascension continue, mais une fois atteint le moment de sa per
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ction, ne peut plus que se souvenir, c’est-à-dire
souffrir
, vieillir. L’amour étant d’essence éternelle, ses manifestations dans
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de la solitude et de la grandeur, les Alpes. Nous
souffrons
d’une carence inquiétante de l’héroïsme. Dans la lutte pour la vie qu
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? Nous avons trop souvent et bien trop volontiers
souffert
que l’on nous attribue un moralisme tout semblable à celui des athées
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pères crurent trouver des appuis, mais dont nous
souffrons
d’autant plus vivement que le monde actuel nous met en demeure d’aban
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est pas à eux que j’en ai, mais à ce dont ils ont
souffert
. 34. Tout ceci appellerait une foule de nuances. Mais il ne s’agit p
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pu être le pendant chrétien du Werther : — « J’ai
souffert
et me voilà libre à nouveau, écrit Goethe à un ami en 1768, au sortir
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ient peut-être le secret de tout le mal dont nous
souffrons
. Il suffit, pour le faire apparaître, de poser cette simple question
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olations et encore des consolations pour ceux qui
souffrent
à cause du Christ. Il suppose, sans autre, que le chrétien souffre po
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u Christ. Il suppose, sans autre, que le chrétien
souffre
pour sa doctrine… » Et c’est la tragi-comédie du christianisme de la
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de la chrétienté. Pauvre chrétien moyen, qu’as-tu
souffert
pour ta doctrine ? Tu souffres, il est vrai, mais n’est-ce point just
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en moyen, qu’as-tu souffert pour ta doctrine ? Tu
souffres
, il est vrai, mais n’est-ce point justement pour ces choses que ta do
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sans-Dieu de Russie. Mais sais-tu bien de quoi tu
souffres
? De ton péché ou de celui des autres ? Comique amer et infini de ce
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veau Testament suppose sans autre que le chrétien
souffre
pour sa doctrine… » (Mais non ! il souffre simplement de ce que tous
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rétien souffre pour sa doctrine… » (Mais non ! il
souffre
simplement de ce que tous ne l’ont pas admise) « … et il apporte sa c
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us fait des sermons, à nous qui n’avons pas voulu
souffrir
». « Dans l’église somptueuse paraît le Très Vénérable et Très Noble
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ur humanité, au sens le plus profond. Ce dont ils
souffrent
, ce n’est pas seulement de manquer de travail et de ne pas gagner leu
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es et dégradantes épreuves. Eux, les simples, ils
souffrent
physiquement. Mais leur drame s’exprime dans la méditation de Pillau,
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épugnante qui soit. Oui, je sais bien de quoi il
souffre
, et contre quelle espèce déprimante de piétistes, arrogants dans leur
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est ce que prouvent ces mêmes déclarations. Elles
souffrent
avant tout d’un manque de ton, qui révèle un manque de nécessité inté
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lors il y a scandale, et c’est alors que le corps
souffre
dans son chef et dans ses membres ! La vie normale du corps dépend de
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y Tout ne fut pas toujours de notre faute. Ils
souffraient
de famine quand nous n’étions pas nés. Ils meurent encore de faim, ma