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ciel et précipité dans un étang de flammes et de
souffre
avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et jour, au siècl
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ut de bois colorié, toujours la cause du mal dont
souffrent
ces sauvages est indépendante d’eux-mêmes, et doit donc être combattu
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envie, égoïsme, bêtise ou lâcheté, vous avez fait
souffrir
un être, vous pouvez éprouver du remords et le désir de réparer la fa
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« amour », rien ne vous arrête, eussiez-vous fait
souffrir
dix fois plus le même être. Vous voyez le mal, vous le déplorez sans
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’arrête à l’image créée. Le désir infini de l’âme
souffre
alors des limitations d’un objet qui résiste et qui bientôt l’embrase
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amants de Vérone. La contradiction torturante que
souffre
l’infini désir séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre
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échapper ? Et si vous l’enfermez, ne va-t-il pas
souffrir
, et peut-être bientôt vous haïr ? Alors vous l’accuserez d’une injust
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autant de violences intimes, et qu’il en vient à
souffrir
davantage par l’absence de l’être aimé qu’il n’a de joie par sa prése
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certes pour beaucoup dans la crise sexuelle dont
souffre
toute la bourgeoisie. Au point qu’un Freud a cru pouvoir « tout expli
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he est perdu, et mes côtes cassées me font encore
souffrir
, ne m’en veux pas si je gémis parfois en t’embrassant. — Ah ! fit-ell
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une histoire pieuse, une mythologie médiévale. Ne
souffrons
pas qu’elle masque plus longtemps le moment décisif du drame de notre