1 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
1 nous, contemporains d’un paroxysme que nous avons souffert dans notre chair, il nous appartient de laisser une description valab
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
2 ut de bois colorié, toujours la cause du mal dont souffrent ces sauvages est indépendante d’eux-mêmes, et doit donc être combattu
3 te Mary est folle, vraiment, ce n’est pas qu’elle souffre de l’atmosphère familiale. Mais je vais vous dire : du côté de mon ma
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
4 envie, égoïsme, bêtise ou lâcheté, vous avez fait souffrir un être, vous pouvez éprouver du remords et le désir de réparer la fa
5 « amour », rien ne vous arrête, eussiez-vous fait souffrir dix fois plus le même être. Vous voyez le mal, vous le déplorez sans
6 ’arrête à l’image créée. Le désir infini de l’âme souffre alors des limitations d’un objet qui résiste et qui bientôt l’embrase
7 amants de Vérone. La contradiction torturante que souffre l’infini désir séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre
8 échapper ? Et si vous l’enfermez, ne va-t-il pas souffrir , et peut-être bientôt vous haïr ? Alors vous l’accuserez d’une injust
9 autant de violences intimes, et qu’il en vient à souffrir davantage par l’absence de l’être aimé qu’il n’a de joie par sa prése
10 certes pour beaucoup dans la crise sexuelle dont souffre toute la bourgeoisie. Au point qu’un Freud a cru pouvoir « tout expli
11 he est perdu, et mes côtes cassées me font encore souffrir , ne m’en veux pas si je gémis parfois en t’embrassant. — Ah ! fit-ell
4 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
12 une histoire pieuse, une mythologie médiévale. Ne souffrons pas qu’elle masque plus longtemps le moment décisif du drame de notre