1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
1 tout retenir le fait que la grave maladie dont il souffrit à 18 ans fut guérie par un médecin de Francfort qui se vantait de con
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
2 absurde ». On ne peut guère le comprendre : on le souffre . On l’aime, on l’injurie, on se débat sous son regard, on argumente c
3 olations et encore des consolations pour ceux qui souffrent à cause du Christ. Il suppose, sans méfiance, que le chrétien souffre
4 hrist. Il suppose, sans méfiance, que le chrétien souffre pour sa doctrine… » Et c’est la tragi-comédie du christianisme de la
5 de la chrétienté. Pauvre chrétien moyen, qu’as-tu souffert pour ta doctrine ? Tu souffres, il est vrai, mais n’est-ce point just
6 en moyen, qu’as-tu souffert pour ta doctrine ? Tu souffres , il est vrai, mais n’est-ce point justement pour ces choses que ta do
7 sans-Dieu de Russie. Mais sais-tu bien de quoi tu souffres  ? De ton péché ou de celui des autres ? Comique amer et infini de ce
8 u Testament suppose sans méfiance que le chrétien souffre pour sa doctrine… (Mais non ! il souffre simplement de ce que tous ne
9 chrétien souffre pour sa doctrine… (Mais non ! il souffre simplement de ce que tous ne l’ont pas admise)… et il apporte sa cons
10 us fait des sermons, à nous qui n’avons pas voulu souffrir . » Dans l’église somptueuse paraît le très vénérable et très noble P
11 je sais aussi ce qu’il m’en a coûté, ce que j’ai souffert . Je puis l’exprimer par cette seule phrase : « Je ne fus pas comme le
12 la ressemblance n’est que formelle. Le temps dont souffre Kierkegaard est engendré par l’angoisse du pécheur, tandis que le tem
3 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
13 L’extraordinaire, chez Kafka, c’est qu’il ait pu souffrir si consciemment et détailler avec une si patiente férocité les élémen
4 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
14 i la même réponse. En effet, la blessure dont ils souffrent est presque toujours symbolisée par la perte d’un être aimé. Passer d
15 est à l’image de la contradiction vitale dont ils souffraient , et d’où naissait leur désir angoissé de perdre leur moi personnel. M
16 à son unité en dépit des contradictions dont peut souffrir l’individu, c’est-à-dire l’être naturel. L’individu est entièrement d