1
tout retenir le fait que la grave maladie dont il
souffrit
à 18 ans fut guérie par un médecin de Francfort qui se vantait de con
2
absurde ». On ne peut guère le comprendre : on le
souffre
. On l’aime, on l’injurie, on se débat sous son regard, on argumente c
3
olations et encore des consolations pour ceux qui
souffrent
à cause du Christ. Il suppose, sans méfiance, que le chrétien souffre
4
hrist. Il suppose, sans méfiance, que le chrétien
souffre
pour sa doctrine… » Et c’est la tragi-comédie du christianisme de la
5
de la chrétienté. Pauvre chrétien moyen, qu’as-tu
souffert
pour ta doctrine ? Tu souffres, il est vrai, mais n’est-ce point just
6
en moyen, qu’as-tu souffert pour ta doctrine ? Tu
souffres
, il est vrai, mais n’est-ce point justement pour ces choses que ta do
7
sans-Dieu de Russie. Mais sais-tu bien de quoi tu
souffres
? De ton péché ou de celui des autres ? Comique amer et infini de ce
8
u Testament suppose sans méfiance que le chrétien
souffre
pour sa doctrine… (Mais non ! il souffre simplement de ce que tous ne
9
chrétien souffre pour sa doctrine… (Mais non ! il
souffre
simplement de ce que tous ne l’ont pas admise)… et il apporte sa cons
10
us fait des sermons, à nous qui n’avons pas voulu
souffrir
. » Dans l’église somptueuse paraît le très vénérable et très noble P
11
je sais aussi ce qu’il m’en a coûté, ce que j’ai
souffert
. Je puis l’exprimer par cette seule phrase : « Je ne fus pas comme le
12
la ressemblance n’est que formelle. Le temps dont
souffre
Kierkegaard est engendré par l’angoisse du pécheur, tandis que le tem
13
L’extraordinaire, chez Kafka, c’est qu’il ait pu
souffrir
si consciemment et détailler avec une si patiente férocité les élémen
14
i la même réponse. En effet, la blessure dont ils
souffrent
est presque toujours symbolisée par la perte d’un être aimé. Passer d
15
est à l’image de la contradiction vitale dont ils
souffraient
, et d’où naissait leur désir angoissé de perdre leur moi personnel. M
16
à son unité en dépit des contradictions dont peut
souffrir
l’individu, c’est-à-dire l’être naturel. L’individu est entièrement d