1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 utopistes à rebours projettent dans un passé qui souffre tout, sauf d’être vérifié, un négatif du présent qu’ils refusent. 3.
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
2 r brûlant lui révéla la source des peines dont il souffrait . Alors commença pour lui une autre vie. Il entra dans une vie nouvell
3 ité fondamentale de l’esprit : « Toute plante qui souffre a tendance à produire fleurs et fruits41 » (Un peu plus de souffrance
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
4 révèle que « la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement » et qu’elle attend « dans un ardent dé
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
5 dent, et en Europe bien plus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’inquiétude essentielle. Nous ne cessons de parler du «
6 aires à sa survie, qu’elle a créées. Mais si elle souffre encore des excès alternés de ses propres erreurs agrandies au-dehors,
7 s par la réduction d’un de leurs termes et ils ne souffrent pas de médiation théorique ; il faut donc les vivre en tension. D’où
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
8 urrir ses populations ; mais il risque aussi d’en souffrir plus gravement à d’autres égards. Les maux d’une technique étrangère
9 pas sans liens avec les maux physiques dont vous souffrez . Vous exigez maintenant les résultats de nos propres valeurs, que vou