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ants, de faire face à leurs vrais problèmes ou de
souffrir
seulement qu’on les observe. Freud a décelé quelques-uns des motifs d
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connue dans sa vigueur, et dont elle n’a guère pu
souffrir
. Il est vrai qu’une révolution n’éclate jamais qu’après la mort des v
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n se nourrit de négation, parce qu’elle assume et
souffre
l’exception, au sens kierkegaardien du terme. Elle exile celui qui la
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est que le premier a tout fait pour que Régine ne
souffre
pas, il a voulu prendre sur lui tout le drame, et il croit y avoir ré
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s été joué et ne saurait l’être. Il a été vécu et
souffert
consciemment (avec une conscience folle, pourrait-on dire), comme le
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Juan serait le contraire de ce que l’on croit, il
souffrirait
d’une anxiété secrète déjà voisine de l’impuissance. Et il est vrai q
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qui l’épuisent, sans que l’ordre des choses ait à
souffrir
d’une dépense improductive. Certes Don Juan est un tricheur, et même
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xemplairement, s’il n’était pas ce qu’il subit et
souffre
, et s’efforce de dépasser vers l’absolu, vers ce qu’il veut devenir s
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onheur d’une illusion solide et vigoureuse ; nous
souffrons
rien qu’à nous représenter un pareil état de choses ! L’inquiétude de
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ternel. Ces formes demeurent allusives, ces corps
souffrent
et meurent, ces sentiments s’égarent, ce désir exige un Ailleurs où l