1 el de la culture en Europe, les misères dont elle souffre , les dangers qui la guettent. C’est pourquoi les deux thèmes qui serv

2 rilisation temporaire de sources de culture, dont souffrent la plupart des pays qui participèrent aux hostilités : beaucoup de li

3 paralyser la vie culturelle. L’édition européenne souffre gravement du régime des contingents, fixés par les États pour des rai

4 e cohérence profonde. Tel est le mal profond dont souffre l’Occident. Il est sans doute plus grave que la somme des misères mat

5 er. — Presque toutes les misères et entraves dont souffre la vie de l’esprit en Europe se ramènent en dernière analyse à une se

6 une mesure. Qui pourrait dire que l’Amérique n’en souffre pas ? Celui-là seul qui s’en tiendrait aux symptômes extérieurs, si d

7 couleurs, les rythmes et le style. Tout le monde souffre , même sans le savoir, de la laideur et de l’incohérence d’un logement

8 t, leur couleur habituelle de novembre. Le bétail souffre de lésions osseuses et dentaires. Mais si la vallée de la Maurienne s

9 dent, et en Europe bien plus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’inquiétude générale. Nous ne cessons de parler du « dé

10 ns matériels — quand les deux tiers de l’humanité souffrent la faim — mais c’est un rêve, universel et proprement irrésistible. E

11 longue par les erreurs des autres, mais aussitôt souffertes et payées cher par l’ensemble du genre humain. C’est, en effet, de ce