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e. Et voilà le principe même des crises dont nous
souffrons
et dont le système constitue la grande crise que je vais achever de d
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e des vents, lumière et chaleur du soleil (qui ne
souffrent
pas la centralisation, c’est pourquoi nos États les décrient). Et vou
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lan : enrichir la France sans que les Français en
souffrent
. » L’État-nation « personnifié » par le nom de son sanctuaire ou de s
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Quand nous aurons compris que la crise dont nous
souffrons
résulte en vérité de nos désirs et non de je ne sais quelles fatalité
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iers-monde et son rêve d’égaler… Et quand vous en
souffrez
, vous le projetez devant vous, vous l’objectivez, l’accusez — vous dé
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’autre que lui. La personne est en l’homme ce qui
souffre
de l’absence de communauté, mais aussi de l’excès de présence collect
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entualité d’une Troisième Guerre mondiale, dût en
souffrir
la théorie classique du pouvoir. Le budget de l’État diminué des dépe
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les plus profondes de la dis-sociation dont nous
souffrons
, en même temps que sur ses effets. 8. — « Utopie ! » On sait que l
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des consolidations de l’oppression technique dont
souffrent
les travailleurs. Abolir la condition prolétarienne signifie répartir
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ses. Tout ne fut pas toujours de notre faute. Ils
souffraient
de famine quand nous n’étions pas nés. Ils meurent encore de faim, ma