1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 e. Et voilà le principe même des crises dont nous souffrons et dont le système constitue la grande crise que je vais achever de d
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
2 e des vents, lumière et chaleur du soleil (qui ne souffrent pas la centralisation, c’est pourquoi nos États les décrient). Et vou
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
3 lan : enrichir la France sans que les Français en souffrent . » L’État-nation « personnifié » par le nom de son sanctuaire ou de s
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
4 Quand nous aurons compris que la crise dont nous souffrons résulte en vérité de nos désirs et non de je ne sais quelles fatalité
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
5 iers-monde et son rêve d’égaler… Et quand vous en souffrez , vous le projetez devant vous, vous l’objectivez, l’accusez — vous dé
6 ’autre que lui. La personne est en l’homme ce qui souffre de l’absence de communauté, mais aussi de l’excès de présence collect
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
7 entualité d’une Troisième Guerre mondiale, dût en souffrir la théorie classique du pouvoir. Le budget de l’État diminué des dépe
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
8 les plus profondes de la dis-sociation dont nous souffrons , en même temps que sur ses effets.   8. — « Utopie ! » On sait que l
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
9 des consolidations de l’oppression technique dont souffrent les travailleurs. Abolir la condition prolétarienne signifie répartir
10 ses. Tout ne fut pas toujours de notre faute. Ils souffraient de famine quand nous n’étions pas nés. Ils meurent encore de faim, ma