1
tard, disent-ils4 ; en attendant, ils les veulent
soumis
.) Dans de telles conjonctures, on comprendra sans peine qu’un intelle
2
out incarnation de l’Esprit. Et l’incarnation est
soumise
aux nécessités de la « chair », qui ne sont pas variées à l’infini. D
3
ns ce qu’il a de plus animal, de plus aveuglément
soumis
à la nature, et en même temps qui propose un idéal standard, abstrait
4
ent des habitudes de pensée et de vie entièrement
soumise
aux lois du nombre et de la matière, pour ne rien dire de la police e
5
ndiculairement. Chez les chrétiens, volonté de se
soumettre
à ce qui juge la vie. Chez les humanistes, volonté de vivre par eux-m
6
n une « mise au pas », une inversion du spirituel
soumis
de force à la raison d’État ? C’est bien déjà la folie unitaire, le m
7
mérique se soviétise à son tour, si les fascismes
soumettent
de plus en plus la personne à la culture nationale, celle-ci à l’écon
8
, il ne faut pas ni ne saurait suffire qu’elle se
soumette
à des réalités dont elle ignore ou répudie la loi interne : la tactiq
9
une main vivante et agissante. Un libéral qui se
soumet
aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un penseur engag