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de nouer des liens avec Zurich, et allait bientôt
soumettre
le pays de Vaud et les plateaux de l’Argovie — berceau des Habsbourg
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ation cantonale. Nulle part pourtant, on ne les a
soumises
à l’autorité des fonctionnaires cantonaux… Dès l’origine, comme le pr
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. Le Conseil d’État prépare les textes qui seront
soumis
au législatif, et fixe leur mise en vigueur lorsqu’ils sont acceptés.
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uvoirs, le Conseil fédéral n’en demeure pas moins
soumis
à l’opinion publique, et se montre très soucieux de ne point la bousc
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s arrêts fédéraux de portée générale doivent être
soumis
à l’adoption ou au rejet du peuple lorsque la demande en est faite pa
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u de petites tyrannies, de petits États unitaires
soumis
à la dictature d’un homme ou d’un clan. Dans ses limites étroites, la
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i large que possible. Elles ne sont à aucun degré
soumises
à une doctrine d’État unifiée, mais reflètent fidèlement le genius lo
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s civiles religieuses. Et ce sont les deux villes
soumises
à son influence, Zurich et Berne, qui prendront la tête du parti réfo
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tion en 1803 seulement, après avoir été longtemps
soumis
à leurs « magnifiques seigneurs » alémaniques en tant que bailliages,